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Née en 1975. Vit et travaille à Paris.
Après des études d’histoire de l’art à l’Ecole du Louvre, Hélène Langlois obtient son DNSEP aux Beaux-Arts du Mans (félicitée en 2001). Son travail se concentre alors sur des questionnements liés au langage et sa représentation, via la vidéo et la photographie. S'en décline une réflexion sur le langage architectural, sous la forme d’une série de vues de chantiers, révélant l’intimité poétique des lieux une fois désertés. Un portfolio de 12 tirages rejoint les collections du Petit Palais, Musée des Beaux Arts de la Ville de Paris en 2010. Très attachée à l'histoire de l’art et notamment aux représentations allégoriques et aux clairs-obscurs de la peinture classique, Hélène Langlois articule son travail autour de l'étude compulsive de la lumière et de ce qu’elle peut révéler de l’intime et du temps. Convoquant l’essence même de la photographie l’objet-lumière (ou la lumière-objet) est au cœur de sa pratique. En fonction des images et des séries desquelles ils sont issus, les tirages exposés sont souvent très mattes, servant la « matière-lumière ». Elle est par ailleurs coordinatrice de l’AICA France (Association Internationale de Critiques d’Art, section France) ainsi que membre active du collectif FemmesPHOTOgraphes. En savoir plus
Après des études d’histoire de l’art à l’Ecole du Louvre, Hélène Langlois obtient son DNSEP aux Beaux-Arts du Mans (félicitée en 2001). Son travail se concentre alors sur des questionnements liés au langage et sa représentation, via la vidéo et la photographie. S'en décline une réflexion sur le langage architectural, sous la forme d’une série de vues de chantiers, révélant l’intimité poétique des lieux une fois désertés. Un portfolio de 12 tirages rejoint les collections du Petit Palais, Musée des Beaux Arts de la Ville de Paris en 2010. Très attachée à l'histoire de l’art et notamment aux représentations allégoriques et aux clairs-obscurs de la peinture classique, Hélène Langlois articule son travail autour de l'étude compulsive de la lumière et de ce qu’elle peut révéler de l’intime et du temps. Convoquant l’essence même de la photographie l’objet-lumière (ou la lumière-objet) est au cœur de sa pratique. En fonction des images et des séries desquelles ils sont issus, les tirages exposés sont souvent très mattes, servant la « matière-lumière ». Elle est par ailleurs coordinatrice de l’AICA France (Association Internationale de Critiques d’Art, section France) ainsi que membre active du collectif FemmesPHOTOgraphes. En savoir plus
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Canon EOS 70D
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Née en 1975. Vit et travaille à Paris.
Après des études d’histoire de l’art à l’Ecole du Louvre, Hélène Langlois obtient son DNSEP aux Beaux-Arts du Mans (félicitée en 2001). Son travail se concentre alors sur des questionnements liés au langage et sa représentation, via la vidéo et la photographie. S'en décline une réflexion sur le langage architectural, sous la forme d’une série de vues de chantiers, révélant l’intimité poétique des lieux une fois désertés. Un portfolio de 12 tirages rejoint les collections du Petit Palais, Musée des Beaux Arts de la Ville de Paris en 2010. Très attachée à l'histoire de l’art et notamment aux représentations allégoriques et aux clairs-obscurs de la peinture classique, Hélène Langlois articule son travail autour de l'étude compulsive de la lumière et de ce qu’elle peut révéler de l’intime et du temps. Convoquant l’essence même de la photographie l’objet-lumière (ou la lumière-objet) est au cœur de sa pratique. En fonction des images et des séries desquelles ils sont issus, les tirages exposés sont souvent très mattes, servant la « matière-lumière ». Elle est par ailleurs coordinatrice de l’AICA France (Association Internationale de Critiques d’Art, section France) ainsi que membre active du collectif FemmesPHOTOgraphes.
Après des études d’histoire de l’art à l’Ecole du Louvre, Hélène Langlois obtient son DNSEP aux Beaux-Arts du Mans (félicitée en 2001). Son travail se concentre alors sur des questionnements liés au langage et sa représentation, via la vidéo et la photographie. S'en décline une réflexion sur le langage architectural, sous la forme d’une série de vues de chantiers, révélant l’intimité poétique des lieux une fois désertés. Un portfolio de 12 tirages rejoint les collections du Petit Palais, Musée des Beaux Arts de la Ville de Paris en 2010. Très attachée à l'histoire de l’art et notamment aux représentations allégoriques et aux clairs-obscurs de la peinture classique, Hélène Langlois articule son travail autour de l'étude compulsive de la lumière et de ce qu’elle peut révéler de l’intime et du temps. Convoquant l’essence même de la photographie l’objet-lumière (ou la lumière-objet) est au cœur de sa pratique. En fonction des images et des séries desquelles ils sont issus, les tirages exposés sont souvent très mattes, servant la « matière-lumière ». Elle est par ailleurs coordinatrice de l’AICA France (Association Internationale de Critiques d’Art, section France) ainsi que membre active du collectif FemmesPHOTOgraphes.