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Le portrait de paysages
Sortir du cliché. Construire une image depuis sa conception mentale jusque’´a la post-production. Avec les photos prises dans l’archipel de Los Roques, Dudu Tresca crée de petits poèmes où les couleurs et les formes donnent la métrique, le rythme de ce qu’il veut dire.
Des photos qui pourraient facilement se suffirent à elles mêmes vu la beauté de l’endroit. Mais ce n’est pas ce que nous voyons: il est clair que la nature - de manière positive - s’est laissé capturer par un encadrement précis. Comme résultat, des images instigantes où l’on se perd dans les innombrables détails - qui apparemment inexistent- mais il suffit de regarder plus attentivement pour percevoir la subtilité de la composition. Significations qui ne se laissent pas saisir au premier abord. Il faut s’arrêter, regarder et pourquoi pas, rêver.
Un regard instruit pour découvrir l'inattendu dans le banal et reconstruire ce qui est déjà prêt. Les éléments existants sont redéfinis.
Ce n’est pas un simple enregistrement, mais un portrait du paysage où il est un simple acteur de support et le photographe le personage principal de l’histoire.
Simonetta Persichetti
Journaliste / critique d’art En savoir plus
Sortir du cliché. Construire une image depuis sa conception mentale jusque’´a la post-production. Avec les photos prises dans l’archipel de Los Roques, Dudu Tresca crée de petits poèmes où les couleurs et les formes donnent la métrique, le rythme de ce qu’il veut dire.
Des photos qui pourraient facilement se suffirent à elles mêmes vu la beauté de l’endroit. Mais ce n’est pas ce que nous voyons: il est clair que la nature - de manière positive - s’est laissé capturer par un encadrement précis. Comme résultat, des images instigantes où l’on se perd dans les innombrables détails - qui apparemment inexistent- mais il suffit de regarder plus attentivement pour percevoir la subtilité de la composition. Significations qui ne se laissent pas saisir au premier abord. Il faut s’arrêter, regarder et pourquoi pas, rêver.
Un regard instruit pour découvrir l'inattendu dans le banal et reconstruire ce qui est déjà prêt. Les éléments existants sont redéfinis.
Ce n’est pas un simple enregistrement, mais un portrait du paysage où il est un simple acteur de support et le photographe le personage principal de l’histoire.
Simonetta Persichetti
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Canon PowerShot G10
FEVRIER 2015
Le portrait de paysages
Sortir du cliché. Construire une image depuis sa conception mentale jusque’´a la post-production. Avec les photos prises dans l’archipel de Los Roques, Dudu Tresca crée de petits poèmes où les couleurs et les formes donnent la métrique, le rythme de ce qu’il veut dire.
Des photos qui pourraient facilement se suffirent à elles mêmes vu la beauté de l’endroit. Mais ce n’est pas ce que nous voyons: il est clair que la nature - de manière positive - s’est laissé capturer par un encadrement précis. Comme résultat, des images instigantes où l’on se perd dans les innombrables détails - qui apparemment inexistent- mais il suffit de regarder plus attentivement pour percevoir la subtilité de la composition. Significations qui ne se laissent pas saisir au premier abord. Il faut s’arrêter, regarder et pourquoi pas, rêver.
Un regard instruit pour découvrir l'inattendu dans le banal et reconstruire ce qui est déjà prêt. Les éléments existants sont redéfinis.
Ce n’est pas un simple enregistrement, mais un portrait du paysage où il est un simple acteur de support et le photographe le personage principal de l’histoire.
Simonetta Persichetti
Journaliste / critique d’art
Sortir du cliché. Construire une image depuis sa conception mentale jusque’´a la post-production. Avec les photos prises dans l’archipel de Los Roques, Dudu Tresca crée de petits poèmes où les couleurs et les formes donnent la métrique, le rythme de ce qu’il veut dire.
Des photos qui pourraient facilement se suffirent à elles mêmes vu la beauté de l’endroit. Mais ce n’est pas ce que nous voyons: il est clair que la nature - de manière positive - s’est laissé capturer par un encadrement précis. Comme résultat, des images instigantes où l’on se perd dans les innombrables détails - qui apparemment inexistent- mais il suffit de regarder plus attentivement pour percevoir la subtilité de la composition. Significations qui ne se laissent pas saisir au premier abord. Il faut s’arrêter, regarder et pourquoi pas, rêver.
Un regard instruit pour découvrir l'inattendu dans le banal et reconstruire ce qui est déjà prêt. Les éléments existants sont redéfinis.
Ce n’est pas un simple enregistrement, mais un portrait du paysage où il est un simple acteur de support et le photographe le personage principal de l’histoire.
Simonetta Persichetti
Journaliste / critique d’art