Après avoir enchaîné deux journées consécutives à la réalisation d'un clip dans un appartement. Les propriétaires nous ont gentiment proposé de rester chez elles ce soir là. Étonnamment, après ces dures journées de travail, nous étions encore pris d'inspiration mais cette fois-ci, Victoria et Léa, les propriétaires, étaient de la partie. Sans savoir où nous allions, Elisabeth et moi nous laissions guidé par les éléments dans leur appartement. Quand je suis arrivé chez elles, j'étais étonné de voir comment la personnalité de quelqu'un pouvait être reflété par l'organisation, la décoration de son intérieur. Chez elles, un rose pâle flottant avait enveloppé la pièce. Celui-ci ma immédiatement mis face à quelques chose dont je n'avais jamais eu l'opportunité de capturer. J'étais surexcité de travailler la lumière dans ce lieu. J'ai immédiatement était emporté par cette vague d'inspiration une fois mettre jeté dans leur univers coloré, doux, lisse et léger. Chez Léa, c'était plus compliqué, j'étais face à quelqu'un qui n'avait pas l'habitude de l'objectif. C'est alors que cette situation, où je me retrouve face à un mur. Où l'inspiration se transforme en défis, je passe alors par le dialogue. Où je pense ne pas avoir assez compris la personne sans lui parler, que nous avons des différences dans nos expériences de vie qui m'empêche de percevoir qui elle est. Après avoir fais plus connaissance de son expérience de vie, nous avons ainsi pu nous positionner et trouver cette instant. Pour moi, il raconte ce que viens de raconter. La difficulté de comprendre quelqu'un lorsque qu'il peut mettre une barrière devant lui. Ici, Léa a une arme, comme si dans son passé elle avait vécu un événement qui a provoqué chez elle le besoin de se protéger. Mais maintenant quand je vois cette photo, je sais que je ne suis plus face au fusil, j'ai place d'un acolyte.