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C'est un artiste singulier et humaniste, depuis ses débuts, il réalise une oeuvre engagée et culmine donc dans une conciliation cohérente des dimensions sociales et artistiques.
Cynique, tendre, encoléré, observateur à la fois réceptif et intraitable, il est le spectateur lucide de la vie ordinaire et de la tragédie domestique.
Ces compositions requièrent un temps d'observation, elles sont indociles, elles ne cèdent pas à l'oeillade ou à la flânerie et ne se laissent pas consommer sans livrer tout leur lait ou leur venin.
Venu du cinéma, Pierre Leblanc a le talent de rendre pénétrante une composition, de l'éclairer, d'en faire une scène dont l'immobilité aiguise et exacerbe l'acuité. Il éreinte et adresse des signes de solidarité, des messages de tendresse et porte par la photographie, d'une façon parfois brutale et incisive, des idées nobles.
Tout advient dans des lieux confinés : un banc dans un petit square, une automobile, une chambre d'hôtel déshuette ou encore une cellule de prison...
Ces microcosmes (ces foyers, lieux ardents de l'âtre humain) sont non point des réductions du monde, mais des métonymies : tout s'y joue du grand barnum humain !
www.pierreleblanc.be En savoir plus
Cynique, tendre, encoléré, observateur à la fois réceptif et intraitable, il est le spectateur lucide de la vie ordinaire et de la tragédie domestique.
Ces compositions requièrent un temps d'observation, elles sont indociles, elles ne cèdent pas à l'oeillade ou à la flânerie et ne se laissent pas consommer sans livrer tout leur lait ou leur venin.
Venu du cinéma, Pierre Leblanc a le talent de rendre pénétrante une composition, de l'éclairer, d'en faire une scène dont l'immobilité aiguise et exacerbe l'acuité. Il éreinte et adresse des signes de solidarité, des messages de tendresse et porte par la photographie, d'une façon parfois brutale et incisive, des idées nobles.
Tout advient dans des lieux confinés : un banc dans un petit square, une automobile, une chambre d'hôtel déshuette ou encore une cellule de prison...
Ces microcosmes (ces foyers, lieux ardents de l'âtre humain) sont non point des réductions du monde, mais des métonymies : tout s'y joue du grand barnum humain !
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Canon EOS 5D Mark II
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- 10 Photos
C'est un artiste singulier et humaniste, depuis ses débuts, il réalise une oeuvre engagée et culmine donc dans une conciliation cohérente des dimensions sociales et artistiques.
Cynique, tendre, encoléré, observateur à la fois réceptif et intraitable, il est le spectateur lucide de la vie ordinaire et de la tragédie domestique.
Ces compositions requièrent un temps d'observation, elles sont indociles, elles ne cèdent pas à l'oeillade ou à la flânerie et ne se laissent pas consommer sans livrer tout leur lait ou leur venin.
Venu du cinéma, Pierre Leblanc a le talent de rendre pénétrante une composition, de l'éclairer, d'en faire une scène dont l'immobilité aiguise et exacerbe l'acuité. Il éreinte et adresse des signes de solidarité, des messages de tendresse et porte par la photographie, d'une façon parfois brutale et incisive, des idées nobles.
Tout advient dans des lieux confinés : un banc dans un petit square, une automobile, une chambre d'hôtel déshuette ou encore une cellule de prison...
Ces microcosmes (ces foyers, lieux ardents de l'âtre humain) sont non point des réductions du monde, mais des métonymies : tout s'y joue du grand barnum humain !
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Cynique, tendre, encoléré, observateur à la fois réceptif et intraitable, il est le spectateur lucide de la vie ordinaire et de la tragédie domestique.
Ces compositions requièrent un temps d'observation, elles sont indociles, elles ne cèdent pas à l'oeillade ou à la flânerie et ne se laissent pas consommer sans livrer tout leur lait ou leur venin.
Venu du cinéma, Pierre Leblanc a le talent de rendre pénétrante une composition, de l'éclairer, d'en faire une scène dont l'immobilité aiguise et exacerbe l'acuité. Il éreinte et adresse des signes de solidarité, des messages de tendresse et porte par la photographie, d'une façon parfois brutale et incisive, des idées nobles.
Tout advient dans des lieux confinés : un banc dans un petit square, une automobile, une chambre d'hôtel déshuette ou encore une cellule de prison...
Ces microcosmes (ces foyers, lieux ardents de l'âtre humain) sont non point des réductions du monde, mais des métonymies : tout s'y joue du grand barnum humain !
www.pierreleblanc.be