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Misa ATO n’existe pas, ou plutôt n’existe que par le regard que vous porterez sur ces photos. Lorsque l’on décide de prendre une photo, Il est difficile de décortiquer pourquoi avoir choisi cet espace, cet angle à cet instant précis, de sélectionner certaines photos, de les imprimer et pour finir vouloir les partager.
Ces photos ne sont pas retouchées, elles peuvent être floues, imparfaites, elles livrent leurs sens dans le cadre du lieu et de l’instant où elles se sont figées.
Marqué par l’architecture et attiré par la peinture, Misa ATO comme un funambule avance sur une ligne imaginée qui serait suspendue dans le vide en équilibre entre la structure du sujet perçu et l’émotion ressentie. Misa ATO cherche à rapprocher la forme et le contenu du sujet photographié. Il s'agit de livrer sans tromperie les images telles qu'elles sont, comme une étrange harmonie qu’ont les sujets entre eux. Vivants ou pas.
Plusieurs éléments n’existent plus sur ces photos. Comme si la vie avait disparu, l’humain s’est effacé et laisse la place à une apparente tranquillité du paysage. La couleur s’est retirée, comme pour gommer des informations et éviter d’attirer l’œil trop feignant sur une tache de couleur vive. Le ciel a disparu pour retirer la lumière la plus claire, pour rajouter une perte de repères, embrouiller le haut du bas ou dissimuler l’instant de la journée. L’horizon s’est effacé pour permettre d’incliner la vue, pour superposer des plans à différentes profondeurs et engendrer des déséquilibres. En savoir plus
Ces photos ne sont pas retouchées, elles peuvent être floues, imparfaites, elles livrent leurs sens dans le cadre du lieu et de l’instant où elles se sont figées.
Marqué par l’architecture et attiré par la peinture, Misa ATO comme un funambule avance sur une ligne imaginée qui serait suspendue dans le vide en équilibre entre la structure du sujet perçu et l’émotion ressentie. Misa ATO cherche à rapprocher la forme et le contenu du sujet photographié. Il s'agit de livrer sans tromperie les images telles qu'elles sont, comme une étrange harmonie qu’ont les sujets entre eux. Vivants ou pas.
Plusieurs éléments n’existent plus sur ces photos. Comme si la vie avait disparu, l’humain s’est effacé et laisse la place à une apparente tranquillité du paysage. La couleur s’est retirée, comme pour gommer des informations et éviter d’attirer l’œil trop feignant sur une tache de couleur vive. Le ciel a disparu pour retirer la lumière la plus claire, pour rajouter une perte de repères, embrouiller le haut du bas ou dissimuler l’instant de la journée. L’horizon s’est effacé pour permettre d’incliner la vue, pour superposer des plans à différentes profondeurs et engendrer des déséquilibres. En savoir plus
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NIKON D750
FEVRIER 2015
Misa ATO n’existe pas, ou plutôt n’existe que par le regard que vous porterez sur ces photos. Lorsque l’on décide de prendre une photo, Il est difficile de décortiquer pourquoi avoir choisi cet espace, cet angle à cet instant précis, de sélectionner certaines photos, de les imprimer et pour finir vouloir les partager.
Ces photos ne sont pas retouchées, elles peuvent être floues, imparfaites, elles livrent leurs sens dans le cadre du lieu et de l’instant où elles se sont figées.
Marqué par l’architecture et attiré par la peinture, Misa ATO comme un funambule avance sur une ligne imaginée qui serait suspendue dans le vide en équilibre entre la structure du sujet perçu et l’émotion ressentie. Misa ATO cherche à rapprocher la forme et le contenu du sujet photographié. Il s'agit de livrer sans tromperie les images telles qu'elles sont, comme une étrange harmonie qu’ont les sujets entre eux. Vivants ou pas.
Plusieurs éléments n’existent plus sur ces photos. Comme si la vie avait disparu, l’humain s’est effacé et laisse la place à une apparente tranquillité du paysage. La couleur s’est retirée, comme pour gommer des informations et éviter d’attirer l’œil trop feignant sur une tache de couleur vive. Le ciel a disparu pour retirer la lumière la plus claire, pour rajouter une perte de repères, embrouiller le haut du bas ou dissimuler l’instant de la journée. L’horizon s’est effacé pour permettre d’incliner la vue, pour superposer des plans à différentes profondeurs et engendrer des déséquilibres.
Ces photos ne sont pas retouchées, elles peuvent être floues, imparfaites, elles livrent leurs sens dans le cadre du lieu et de l’instant où elles se sont figées.
Marqué par l’architecture et attiré par la peinture, Misa ATO comme un funambule avance sur une ligne imaginée qui serait suspendue dans le vide en équilibre entre la structure du sujet perçu et l’émotion ressentie. Misa ATO cherche à rapprocher la forme et le contenu du sujet photographié. Il s'agit de livrer sans tromperie les images telles qu'elles sont, comme une étrange harmonie qu’ont les sujets entre eux. Vivants ou pas.
Plusieurs éléments n’existent plus sur ces photos. Comme si la vie avait disparu, l’humain s’est effacé et laisse la place à une apparente tranquillité du paysage. La couleur s’est retirée, comme pour gommer des informations et éviter d’attirer l’œil trop feignant sur une tache de couleur vive. Le ciel a disparu pour retirer la lumière la plus claire, pour rajouter une perte de repères, embrouiller le haut du bas ou dissimuler l’instant de la journée. L’horizon s’est effacé pour permettre d’incliner la vue, pour superposer des plans à différentes profondeurs et engendrer des déséquilibres.