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Un jour son père lui offre un Canon semi professionnel. Boite magique qui lui permet instantanément de garder en mémoire les traces et les contrastes. Elle entre en photographie. Elle a 20 ans. C’est son anniversaire.
A la rentrée suivante, elle abandonne des études d’histoire de l’art et s’inscrit à Icart Photo. Elle sera diplômée en 2010.
Voir et dire
Photographe engagée, elle se sert de la photographie et affirme la place du discours dans ses prises de vue qui sont autant de prises de position et d’opposition. Sa réflexion est sous le signe de la souffrance et de la mort. Entre ironie acide et dérision lucide, elle les affronte sans pathos. Le signe s’inscrit dans une écriture légère comme du fer rouge.
Sur-réalité
Elle investit d’emblée le champ du regard par un travail de recomposition du réel en studio. Elle refait le monde à son image. Virtuellement. Les cinq grandes séries, Impressions réalisée en 2010, puis les Boîtes crâniennes (2011) , Exit (2012), les Marines en (2013), et récemment Dead Line mettent en scène des êtres, des objets et des lieux du quotidien devenus étrangement absurdes et compactés en associations ni aléatoires ni automatiques.
Manière à matière
Sa démarche s’arqueboute sur la confrontation ombre/lumière. La matérialité du monde passe par une étude soigneuse et précise des contours, des trous, des pleins, des creux. Le détail devient centre focal d’où s’évaporent l’air et le sens du tout.
Retrouvez mon actu sur Facebook !
https://www.facebook.com/MarineFoisseyPhotographe En savoir plus
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Sur-réalité
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Manière à matière
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A la rentrée suivante, elle abandonne des études d’histoire de l’art et s’inscrit à Icart Photo. Elle sera diplômée en 2010.
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Manière à matière
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A la rentrée suivante, elle abandonne des études d’histoire de l’art et s’inscrit à Icart Photo. Elle sera diplômée en 2010.
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Photographe engagée, elle se sert de la photographie et affirme la place du discours dans ses prises de vue qui sont autant de prises de position et d’opposition. Sa réflexion est sous le signe de la souffrance et de la mort. Entre ironie acide et dérision lucide, elle les affronte sans pathos. Le signe s’inscrit dans une écriture légère comme du fer rouge.
Sur-réalité
Elle investit d’emblée le champ du regard par un travail de recomposition du réel en studio. Elle refait le monde à son image. Virtuellement. Les cinq grandes séries, Impressions réalisée en 2010, puis les Boîtes crâniennes (2011) , Exit (2012), les Marines en (2013), et récemment Dead Line mettent en scène des êtres, des objets et des lieux du quotidien devenus étrangement absurdes et compactés en associations ni aléatoires ni automatiques.
Manière à matière
Sa démarche s’arqueboute sur la confrontation ombre/lumière. La matérialité du monde passe par une étude soigneuse et précise des contours, des trous, des pleins, des creux. Le détail devient centre focal d’où s’évaporent l’air et le sens du tout.
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