On ne nous prépare pas à sortir d’un cadre vu que l’on nous apprend à faire notre place dedans. Il y en est fait d’or ou d'argent, d’autre de bois noble ou non, et certains de bétons si ce n'est de ciments. Le monde nous secoue un jour ou l’autre, et l’énergie qui s’en dégage agis de pareil action que les molécules d’une réaction. Elle chauffent, s’entrechoquent, crée de l’énergie et cherchent à se libérer de ce qui les emprisonnent. L’esprit agis de même, la vue étant ce qui nous oriente et nous dirige le plus facilement, croire et comprendre que ce que l’on vois peut être l’egal d’une partition, c’est se poser la question de ce qu'on regarde vraiment dans le miroir. Alors ont choisi la curiosité de l’imaginaire, à penser pouvoir trouver dans celui-ci une porte dérobée, un espace libre à l'inconnu, à la méconnaisse des noms, à la liberté d’accepter trouver une beauté qui n’a pas de ressemblance dans ce qu’on connais de la vision. Ce monde existe alors, quand on change d’axe de vision. Quand on choisi de voir dans un prisme au nom différent de celui du monde où se trouve tout ce que l´on connais du présent. Notre vision bascule dans des reflets infinis de nous même, dans différentes sphères, dans différentes dimensions. On comprend alors n’avoir vécu que dans un seul monde, celui d’une raison commune à chacun d’avancer sans aucune raison, et dans l'inconscience d’une chanson qui raisonne silencieusement dans les mots de tous. Voir cet écho visuel de soi même, c’est tomber dans un abysse glissant sans prise existentielles à sa raison, c’est comprendre qu'à jamais et dans toute les dimensions, ont peut avoir le choix de sa vie, et de qui l'on vois dans le miroir, de qui ou quoi compose vraiment notre personne. Le seul vrai miroir à la vue de soi même, c'est comprendre son aveuglement.