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"Eyes without a face" de Billy Idol serait une belle introduction. Ce n'est pas pour rien que dans les années 80 les " hommes qui parlent " se mettent a chanter un discours jamais entendu, des hommes qui ressentent, qui vivent les choses avec un visage inconnu, déformé de ceux ayant l'oeil dessus, ceux ayant l'image de "l'homme", les voient comme ennemis et contre nature, mais uniquement si l'on apprend à un homme que la fierté, c'est sa nature. C'est dans des rues bondés, dans des chaleurs accablantes, que la mixité vous donne une cape d'invisibilité, celle de voir d'un oeil qui ici n'existe pas et plus, celui du " il y a un nom dessus ". Le double tranchant de voir les choses comme ceci, c'est de ne pas voir comment on peux soi-même, être vu. Qu'apprends t'on du regard de l'homme qui vois sentimentalement les choses, si ce n'est de lui donner une raison déja orienté, au fait d'être un homme ayant un coeur, une sensibilité, une empathie, une capacité à exprimer quelque chose que l'on nomme " féminité", par fierté de dire, qu'il n'est réservé qu'aux femme de pouvoir pleurer et avouer au monde, sa "faiblesse" de pouvoir être humain, fragile, et donc, bléssé ? Et dans cette éducation, celle d'être un homme à notre époque, c'est rentrer plus en profondeur dans " l'encadrement " des personnalité. On rejette chaque sentiment reçu comme preuve anormale à sa sexualité car on n'apprend tout bonnement pas à reconnaitre ce que sont nos émotions. L'amour, la peur, la colère et la joie, sont passés au mixeur du patriarcat, pour une meilleur insensibilité, croissance infini du capital, déshumanisation de l'humanité pour un aveuglement divisionniste sexualisé. " L'homme" apprendras donc alors à ses semblables, qu'aimer la vie, être gaie, c'est être, gay, uniquement par peur de voir et comprendre, que ce que les femmes ressentent, les hommes le peuvent aussi... uniquement dans la facilité de donner une explication à quelque chose qu'on ne sais pas faire, qu'on ne nous apprend pas nous les hommes, aimer les femmes en les écoutant, à même titre qu'elles nous écoutent. Le schéma se dessine si facilement par la suite, et l'on voit combien d'hommes se sont perdus en n'ayant les mots, par fierté, se torderont de douleurs, de folie de se croire ce qu'ils ne sont pas, uniquement, parce qu'on leurs à appris depuis tout petit, à reconnaitre " ces gens là". Si l'on se donne une identité au fait de ressentir une émotions, c'est bien que l'on apprend pas à les gérer, pour mieux comprendre ce que l'on est dès le départ, un être humain, doté de sensibilité, à qui le sens acquis de la vie nous est donné dès la naissance, et nous donne donc ainsi, un sens. Le fait de pouvoir le discuter, c'est bien de ne pas savoir se rendre compte de l'égalité sentimentale que l'on a avec le sexe opposé, et que l'on se trouve donc, dans une division maintenue, dans une recherche non aboutie et inavoué, d'une inégalité marquée au fer rouge et que l'histoire perpetue comme symbole de vertue, que la différence physique maintien une différence des émotions. Maintenir ceci, c'est maintenir la tete de la vie sous l'eau, à chercher à respirer par ni'mportes quels moyens, le droit de ressentir, et vivre, jusqu'à l'acceptation d'être une différence, alors que c'est d'accepter celle ci qui divise. Homme ou Femme, c'est pareil, ils sont fait pour s'aimer, se comprendre, s'accoupler et créer la vie, maintenir l'aberration des differences, c'est maintenir le fait que "L'Homme" dans sa profonde fierté sociétale, refusera à jamais reconnaitre l'existence de sa ressemblance avec ce qu'il n'essaye pas de comprendre, la femme. Resteront donc dans l'infini de l'incompréhension, qu'entre eux seulement, pourront ainsi partager encore une fois, égoïstement, le droit de rester incompris aux yeux de tous, dans la peur qu'ils sont de savouer être ce qu'ils sont au départ, comme tout le monde, ignards de comment ils fonctionnent.