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à bout de patience, le courage envahi les lieux d'un aveu au monde, un cri primal s'échappe, tronquant le reflet que l'on à de soi même à se demander ce que l'on peut être au fond de soi. Un animal, un objet, la part d'une équation, ou un outil, quand cet aveu à soi même se fait, et s'exécute malgrès soi, le contrôle à se modeler s'échappe comme une hétérogénéité à se forcer être quelque chose que l'on est pas, à se mélanger dans un espace qui ne nous correspond pas, glissant comme de l'huile, déperlant comme un tissu hydrofuge, la part d'inconnu qui se trouve en soi même se réveille, pour enfin prendre le contrôle de ce modèle que l'on ne gère pas, et que nous est demandé d'enfermer. C'est un cri, exaltant la fumée d'un brasier qui brule en soi, et ne trouve d'air à l'alimenter que l'apnée qui se retient d'une atmosphère qui se refuse d'être respirée, trop nocive, trop toxique, trop pollué de ne savoir vraiment en profiter. C'est la libération d'un corps, a retrouver son mouvement, sa liberté, sa legerté, d'un sarcophage l'ayant entravé à se maintenir enroulé autour de lui même, de ne pouvoir affirmer son existence et sa vie. C'est les premiers pas d'une nouvelle aire, celle ou désormais, il s'écoutera, et cela commence par un cri.