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Qu'est-ce que la photo, si ce n'est la fenêtre dimensionné de la perception que l'on détient du monde, de ses valeurs, orientant la compréhension a la causalité du choix d'y prêter attention, par affiliation ou par absence.
Me concernant, c'était un exutoire, une dimension hors de toutes références, et de toutes mesures, ou moi seul, prend le pas de choisir ce qu'il s'y trouvera, d'un oeil à n'apprécier, que ce qui m'aspire dans l'au-dela, et qu'à révélation, met image sur ce que je n'explique, pour devoir y trouver les mots, et ainsi, donner raison aux images d'exister, a raconter ce que je ne sais faire de mots ou de sentiments, en les regardant pour s'y trouver.
J'admet que je ne peux ponctuer une photo pour ce qu'elle est, je suis, un éternel muet, alors je l'habille de d'une robe de mots que personnes d'autres ne comprend, d'avoir bien trop souvent essayé de les donner, et que souvent, la solitude est moins dure et douleur que l'incompréhension.
La photographie c'est un choix, c'est ce pouvoir, infini, qui délimite le père du fils, " le saint esprit " dans l'aspect physique d'un voile, se mouvant à la vitesse d'un temps, que soi-seul, choisi, d'en avoir la conscience, et surtout, le respect d'une morale, " si je ne le fait pas, qui le fera" de savoir qu'il ne reviendra pas.
Prisonnier d'une dimension que je ne sais maitriser, je ponctue alors la seul que je puisse meubler, la mienne, mon invention, mon involontaire, d'entendre de la lumière l'appel d'un appeau, attirant mon regard comme le gibier que je suis, à sa caresse et à sa danse, me séduisant alors d'une mélodie que moi seul comprend.
Je suis bercé d'une écoute imposé, ou mon avis n'étais que renvoyé, forgeant ainsi mon observation, de ne pouvoir mettre les mots sur mes émotions.
Le temps est devenu un allié, car grandir en paradoxe d'une évolution freinée, d'un climat social désert de toute ambition de l'être, m'a aveuglé de tout respect autre que le mien, pauvre petit enfant bourgeois blessé au coeur d'une profonde plaie, dans la jeunesse, au soir d'un sapin l'explosion d'un sens, d'une place, à laissé place à la seul que je comprenais, la colère.
Je ne trouverais le courage de vouloir comprendre au de la des stop que l'on m'impose qu'au alentour de mes trente ans, et découvre alors, le monde d'un nouvel oeil, celui qui dans mon entourage n'est que peu présent.
Mon passé forgera l'image de ce que je fut, au point de reconnaitre mes traits dans tout ce que j'ai vu, on grandit avec les miroirs de soi même, jusqu'a ce que l'on décide de se regarder, que de porter le regard des autres en bagage.
Qu'est-ce que la photo, si ce n'est une clef de la survie, que de comprendre que l'on se parle, d'avoir un retour sur ce qui nous parle.
Geoffrey. En savoir plus
Me concernant, c'était un exutoire, une dimension hors de toutes références, et de toutes mesures, ou moi seul, prend le pas de choisir ce qu'il s'y trouvera, d'un oeil à n'apprécier, que ce qui m'aspire dans l'au-dela, et qu'à révélation, met image sur ce que je n'explique, pour devoir y trouver les mots, et ainsi, donner raison aux images d'exister, a raconter ce que je ne sais faire de mots ou de sentiments, en les regardant pour s'y trouver.
J'admet que je ne peux ponctuer une photo pour ce qu'elle est, je suis, un éternel muet, alors je l'habille de d'une robe de mots que personnes d'autres ne comprend, d'avoir bien trop souvent essayé de les donner, et que souvent, la solitude est moins dure et douleur que l'incompréhension.
La photographie c'est un choix, c'est ce pouvoir, infini, qui délimite le père du fils, " le saint esprit " dans l'aspect physique d'un voile, se mouvant à la vitesse d'un temps, que soi-seul, choisi, d'en avoir la conscience, et surtout, le respect d'une morale, " si je ne le fait pas, qui le fera" de savoir qu'il ne reviendra pas.
Prisonnier d'une dimension que je ne sais maitriser, je ponctue alors la seul que je puisse meubler, la mienne, mon invention, mon involontaire, d'entendre de la lumière l'appel d'un appeau, attirant mon regard comme le gibier que je suis, à sa caresse et à sa danse, me séduisant alors d'une mélodie que moi seul comprend.
Je suis bercé d'une écoute imposé, ou mon avis n'étais que renvoyé, forgeant ainsi mon observation, de ne pouvoir mettre les mots sur mes émotions.
Le temps est devenu un allié, car grandir en paradoxe d'une évolution freinée, d'un climat social désert de toute ambition de l'être, m'a aveuglé de tout respect autre que le mien, pauvre petit enfant bourgeois blessé au coeur d'une profonde plaie, dans la jeunesse, au soir d'un sapin l'explosion d'un sens, d'une place, à laissé place à la seul que je comprenais, la colère.
Je ne trouverais le courage de vouloir comprendre au de la des stop que l'on m'impose qu'au alentour de mes trente ans, et découvre alors, le monde d'un nouvel oeil, celui qui dans mon entourage n'est que peu présent.
Mon passé forgera l'image de ce que je fut, au point de reconnaitre mes traits dans tout ce que j'ai vu, on grandit avec les miroirs de soi même, jusqu'a ce que l'on décide de se regarder, que de porter le regard des autres en bagage.
Qu'est-ce que la photo, si ce n'est une clef de la survie, que de comprendre que l'on se parle, d'avoir un retour sur ce qui nous parle.
Geoffrey. En savoir plus
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Qu'est-ce que la photo, si ce n'est la fenêtre dimensionné de la perception que l'on détient du monde, de ses valeurs, orientant la compréhension a la causalité du choix d'y prêter attention, par affiliation ou par absence.
Me concernant, c'était un exutoire, une dimension hors de toutes références, et de toutes mesures, ou moi seul, prend le pas de choisir ce qu'il s'y trouvera, d'un oeil à n'apprécier, que ce qui m'aspire dans l'au-dela, et qu'à révélation, met image sur ce que je n'explique, pour devoir y trouver les mots, et ainsi, donner raison aux images d'exister, a raconter ce que je ne sais faire de mots ou de sentiments, en les regardant pour s'y trouver.
J'admet que je ne peux ponctuer une photo pour ce qu'elle est, je suis, un éternel muet, alors je l'habille de d'une robe de mots que personnes d'autres ne comprend, d'avoir bien trop souvent essayé de les donner, et que souvent, la solitude est moins dure et douleur que l'incompréhension.
La photographie c'est un choix, c'est ce pouvoir, infini, qui délimite le père du fils, " le saint esprit " dans l'aspect physique d'un voile, se mouvant à la vitesse d'un temps, que soi-seul, choisi, d'en avoir la conscience, et surtout, le respect d'une morale, " si je ne le fait pas, qui le fera" de savoir qu'il ne reviendra pas.
Prisonnier d'une dimension que je ne sais maitriser, je ponctue alors la seul que je puisse meubler, la mienne, mon invention, mon involontaire, d'entendre de la lumière l'appel d'un appeau, attirant mon regard comme le gibier que je suis, à sa caresse et à sa danse, me séduisant alors d'une mélodie que moi seul comprend.
Je suis bercé d'une écoute imposé, ou mon avis n'étais que renvoyé, forgeant ainsi mon observation, de ne pouvoir mettre les mots sur mes émotions.
Le temps est devenu un allié, car grandir en paradoxe d'une évolution freinée, d'un climat social désert de toute ambition de l'être, m'a aveuglé de tout respect autre que le mien, pauvre petit enfant bourgeois blessé au coeur d'une profonde plaie, dans la jeunesse, au soir d'un sapin l'explosion d'un sens, d'une place, à laissé place à la seul que je comprenais, la colère.
Je ne trouverais le courage de vouloir comprendre au de la des stop que l'on m'impose qu'au alentour de mes trente ans, et découvre alors, le monde d'un nouvel oeil, celui qui dans mon entourage n'est que peu présent.
Mon passé forgera l'image de ce que je fut, au point de reconnaitre mes traits dans tout ce que j'ai vu, on grandit avec les miroirs de soi même, jusqu'a ce que l'on décide de se regarder, que de porter le regard des autres en bagage.
Qu'est-ce que la photo, si ce n'est une clef de la survie, que de comprendre que l'on se parle, d'avoir un retour sur ce qui nous parle.
Geoffrey.
Me concernant, c'était un exutoire, une dimension hors de toutes références, et de toutes mesures, ou moi seul, prend le pas de choisir ce qu'il s'y trouvera, d'un oeil à n'apprécier, que ce qui m'aspire dans l'au-dela, et qu'à révélation, met image sur ce que je n'explique, pour devoir y trouver les mots, et ainsi, donner raison aux images d'exister, a raconter ce que je ne sais faire de mots ou de sentiments, en les regardant pour s'y trouver.
J'admet que je ne peux ponctuer une photo pour ce qu'elle est, je suis, un éternel muet, alors je l'habille de d'une robe de mots que personnes d'autres ne comprend, d'avoir bien trop souvent essayé de les donner, et que souvent, la solitude est moins dure et douleur que l'incompréhension.
La photographie c'est un choix, c'est ce pouvoir, infini, qui délimite le père du fils, " le saint esprit " dans l'aspect physique d'un voile, se mouvant à la vitesse d'un temps, que soi-seul, choisi, d'en avoir la conscience, et surtout, le respect d'une morale, " si je ne le fait pas, qui le fera" de savoir qu'il ne reviendra pas.
Prisonnier d'une dimension que je ne sais maitriser, je ponctue alors la seul que je puisse meubler, la mienne, mon invention, mon involontaire, d'entendre de la lumière l'appel d'un appeau, attirant mon regard comme le gibier que je suis, à sa caresse et à sa danse, me séduisant alors d'une mélodie que moi seul comprend.
Je suis bercé d'une écoute imposé, ou mon avis n'étais que renvoyé, forgeant ainsi mon observation, de ne pouvoir mettre les mots sur mes émotions.
Le temps est devenu un allié, car grandir en paradoxe d'une évolution freinée, d'un climat social désert de toute ambition de l'être, m'a aveuglé de tout respect autre que le mien, pauvre petit enfant bourgeois blessé au coeur d'une profonde plaie, dans la jeunesse, au soir d'un sapin l'explosion d'un sens, d'une place, à laissé place à la seul que je comprenais, la colère.
Je ne trouverais le courage de vouloir comprendre au de la des stop que l'on m'impose qu'au alentour de mes trente ans, et découvre alors, le monde d'un nouvel oeil, celui qui dans mon entourage n'est que peu présent.
Mon passé forgera l'image de ce que je fut, au point de reconnaitre mes traits dans tout ce que j'ai vu, on grandit avec les miroirs de soi même, jusqu'a ce que l'on décide de se regarder, que de porter le regard des autres en bagage.
Qu'est-ce que la photo, si ce n'est une clef de la survie, que de comprendre que l'on se parle, d'avoir un retour sur ce qui nous parle.
Geoffrey.