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Je tente au fil de longues balades d’observations solitaires dans mon quartier, monde extérieur alors devenu immense terrain de jeu, de réaliser des photographies autour de l’invisibilité d’une forme de banalité quotidienne : chaque personne, main, jambe, ombre, reflet, insigne, ou objet, dans leurs interactions entre elles-mêmes et guidé par l’heureux hasard de notre rencontre, peut alors former une situation intrigante à capter, comme pour empêcher son évanouissement. Je parcours à la recherche de tout cela, un même petit territoire de bout en bou(cle), pour créer, de ce voyage immobile et répétitif, où chaque élément nouveau se détache d’un décor urbain déjà connu et reconnu, une matière vivante à penser, à pensées, à panser.
Chaque photo, réalisée à l’Iphone, s’élabore ainsi dans la plus grande discrétion. D’une part pour conserver le voile protecteur d’une timidité névrotique, et pour d’autre part, préserver l’authenticité de l’instant à saisir, qu’un appareil photo porté à l’oeil et trop visible, ne saurait pleinement percevoir. Entre photographie d’une réalité brute et photographie d’une réalité plus abstraite obtenue grâce à des objets de récupérations fixés devant mon objectif de téléphone portable, étirant, déformant ou floutant les formes faisant face, ce travail propose de porter un regard sur notre époque et notre société, comme un carré de soi(e), de tous, à tous. Les photographes Elliott Erwitt, Raymond Depardon ou encore André Kertesz sont une source d’inspiration quotidienne dans ce travail de l’oeil, à aiguiser sans cesse. En savoir plus
Chaque photo, réalisée à l’Iphone, s’élabore ainsi dans la plus grande discrétion. D’une part pour conserver le voile protecteur d’une timidité névrotique, et pour d’autre part, préserver l’authenticité de l’instant à saisir, qu’un appareil photo porté à l’oeil et trop visible, ne saurait pleinement percevoir. Entre photographie d’une réalité brute et photographie d’une réalité plus abstraite obtenue grâce à des objets de récupérations fixés devant mon objectif de téléphone portable, étirant, déformant ou floutant les formes faisant face, ce travail propose de porter un regard sur notre époque et notre société, comme un carré de soi(e), de tous, à tous. Les photographes Elliott Erwitt, Raymond Depardon ou encore André Kertesz sont une source d’inspiration quotidienne dans ce travail de l’oeil, à aiguiser sans cesse. En savoir plus
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Je tente au fil de longues balades d’observations solitaires dans mon quartier, monde extérieur alors devenu immense terrain de jeu, de réaliser des photographies autour de l’invisibilité d’une forme de banalité quotidienne : chaque personne, main, jambe, ombre, reflet, insigne, ou objet, dans leurs interactions entre elles-mêmes et guidé par l’heureux hasard de notre rencontre, peut alors former une situation intrigante à capter, comme pour empêcher son évanouissement. Je parcours à la recherche de tout cela, un même petit territoire de bout en bou(cle), pour créer, de ce voyage immobile et répétitif, où chaque élément nouveau se détache d’un décor urbain déjà connu et reconnu, une matière vivante à penser, à pensées, à panser.
Chaque photo, réalisée à l’Iphone, s’élabore ainsi dans la plus grande discrétion. D’une part pour conserver le voile protecteur d’une timidité névrotique, et pour d’autre part, préserver l’authenticité de l’instant à saisir, qu’un appareil photo porté à l’oeil et trop visible, ne saurait pleinement percevoir. Entre photographie d’une réalité brute et photographie d’une réalité plus abstraite obtenue grâce à des objets de récupérations fixés devant mon objectif de téléphone portable, étirant, déformant ou floutant les formes faisant face, ce travail propose de porter un regard sur notre époque et notre société, comme un carré de soi(e), de tous, à tous. Les photographes Elliott Erwitt, Raymond Depardon ou encore André Kertesz sont une source d’inspiration quotidienne dans ce travail de l’oeil, à aiguiser sans cesse.
Chaque photo, réalisée à l’Iphone, s’élabore ainsi dans la plus grande discrétion. D’une part pour conserver le voile protecteur d’une timidité névrotique, et pour d’autre part, préserver l’authenticité de l’instant à saisir, qu’un appareil photo porté à l’oeil et trop visible, ne saurait pleinement percevoir. Entre photographie d’une réalité brute et photographie d’une réalité plus abstraite obtenue grâce à des objets de récupérations fixés devant mon objectif de téléphone portable, étirant, déformant ou floutant les formes faisant face, ce travail propose de porter un regard sur notre époque et notre société, comme un carré de soi(e), de tous, à tous. Les photographes Elliott Erwitt, Raymond Depardon ou encore André Kertesz sont une source d’inspiration quotidienne dans ce travail de l’oeil, à aiguiser sans cesse.