Nos partenaires et clients

Magnum Photos Un collectif global d'artistes et de conteurs d’images Magnum Photos est la plus ancienne coopérative d'artistes au monde. Enraciné dans une longue pratique documentaire, Magnum et ses artistes ont documenté les événements mondiaux pendant plus de 70 ans, repoussé les limites du langage visuel et favorisé les dialogues photographiques. Avec des bureaux à Londres, Paris, New York et Tokyo, Magnum Photos héberge une archive de plus de 1 000 000 images, développe des projets de collaboration avec des médias, des ONG et des marques, organise des expositions dans le monde entier et publie des histoires qui intéressent un auditoire croissant de plus de 5,5 millions de personnes. . Magnum Photos s’engage à rendre l’éducation de qualité accessible et abordable pour la prochaine génération de narrateurs visuels du monde entier. En tant que microcosme de l'industrie photographique et forte de quelque 70 ans d'expérience, Magnum Photos offre aux photographes, à différentes étapes de leur carrière, des opportunités de développement pédagogique et professionnel véritablement uniques. Les activités offrent une formation pratique, technique et théorique pour aider les participants à développer leur propre langage visuel et les compétences nécessaires pour rivaliser sur le marché en constante évolution de la photographie. La dernière offre de Magnum est la nouvelle plate-forme d’apprentissage en ligne, Magnum Learn. Le premier cours, The Art of Street Photography, rassemble sept photographes de renommée internationale - Bruce Gilden, Martin Parr, Susan Meiselas, Peter van Agtmael, Richard Kalvar, Carolyn Drake et Mark Power - ainsi que des experts du secteur, pour partager leur expérience pour vous aider à améliorer votre pratique. site web
delpire & co La maison Delpire a été fondée en 1951 et dirigée par Robert Delpire pendant plus de soixante ans. L’homme, reconnu comme un génie de l’image, a eu un apport considérable à l’histoire de la photographie. Après avoir de manière pionnière publié les œuvres de Robert Frank, William Klein, ou Henri Cartier-Bresson, la maison a creusé le sillon d’artistes devenus incontournables comme Josef Koudelka, Sarah Moon, ou plus récemment Daido Moriyama. Au fil des années, de nombreuses collections voient le jour – comme Maestro ou Photo Poche – éclectiques mais avec toujours la même ambition : « étonner l’œil », proposer une réflexion sur l’image en tant qu’art graphique. Une autre vocation de la maison est de faire dialoguer la photographie et les mots. À travers la collection Des images et des mots des textes d’auteurs remarquables – penseurs, romanciers, poètes – tels Yves Bonnefoy, Michel Deguy, Jean-Paul Sartre ou Erik Orsenna, sont associés aux photographes. En 2014, Delpire rejoint le groupe Libella, unique par sa totale indépendance financière et la diversité de sa production éditoriale (littérature française et étrangère, récits de voyage, essais, documents, musique, écologie et livres illustrés). Créé à l’initiative de Véra et Jan Michalski, le groupe Libella s’est progressivement constitué autour de maisons d’édition porteuses de sens : Noir sur Blanc, Buchet Chastel, Phébus, Libretto, Photosynthèses, Les Cahiers dessinés. En 2020, Delpire devient delpire & co, à la fois maison d’édition, librairie-galerie, situé au 13 rue de l’Abbaye à Saint-Germain-des-Prés, lieu historique des éditions Delpire. delpire & co ouvre ainsi un nouveau chapitre de l’histoire des éditions, en continuité avec l’esprit et la démarche de « montreur d’images » de son fondateur. Aujourd’hui riche de plus de soixante titres, la maison d’édition continue de mettre son exigence, son savoir-faire et sa passion au service des artistes. Chaque livre est un objet unique, conçu pour faire rayonner une œuvre et l’inscrire dans nos vies. Au-delà des sensibilités, des regards, des écritures et, sans exclusion de styles ou de genres, l’ambition de delpire & co demeure inchangée : créer des livres comme autant d’ouvertures sur le monde qui nous entoure, comme sur notre monde intérieur. site web
Delpire & Co La maison Delpire a été fondée en 1951 et dirigée par Robert Delpire pendant plus de soixante ans. L’homme, reconnu comme un génie de l’image, a eu un apport considérable à l’histoire de la photographie. Après avoir de manière pionnière publié les œuvres de Robert Frank, William Klein, ou Henri Cartier-Bresson, la maison a creusé le sillon d’artistes devenus incontournables comme Josef Koudelka, Sarah Moon, ou plus récemment Daido Moriyama. Au fil des années, de nombreuses collections voient le jour – comme Maestro ou Photo Poche – éclectiques mais avec toujours la même ambition : « étonner l’œil », proposer une réflexion sur l’image en tant qu’art graphique. Une autre vocation de la maison est de faire dialoguer la photographie et les mots. À travers la collection Des images et des mots des textes d’auteurs remarquables – penseurs, romanciers, poètes – tels Yves Bonnefoy, Michel Deguy, Jean-Paul Sartre ou Erik Orsenna, sont associés aux photographes. En 2014, Delpire rejoint le groupe Libella, unique par sa totale indépendance financière et la diversité de sa production éditoriale (littérature française et étrangère, récits de voyage, essais, documents, musique, écologie et livres illustrés). Créé à l’initiative de Véra et Jan Michalski, le groupe Libella s’est progressivement constitué autour de maisons d’édition porteuses de sens : Noir sur Blanc, Buchet Chastel, Phébus, Libretto, Photosynthèses, Les Cahiers dessinés. En 2020, Delpire devient delpire & co, à la fois maison d’édition, librairie-galerie, situé au 13 rue de l’Abbaye à Saint-Germain-des-Prés, lieu historique des éditions Delpire. delpire & co ouvre ainsi un nouveau chapitre de l’histoire des éditions, en continuité avec l’esprit et la démarche de « montreur d’images » de son fondateur. Aujourd’hui riche de plus de soixante titres, la maison d’édition continue de mettre son exigence, son savoir-faire et sa passion au service des artistes. Chaque livre est un objet unique, conçu pour faire rayonner une œuvre et l’inscrire dans nos vies. Au-delà des sensibilités, des regards, des écritures et, sans exclusion de styles ou de genres, l’ambition de delpire & co demeure inchangée : créer des livres comme autant d’ouvertures sur le monde qui nous entoure, comme sur notre monde intérieur. site web
JCDecaux JCDecaux, N°1 mondial de la communication extérieure, est aujourd’hui présent dans plus de 80 pays et 4 033 villes de plus de 10 000 habitants, et joue un rôle majeur dans la transformation des univers urbains. Tout a commencé en 1964 lorsque Jean-Claude Decaux installe les premiers abribus publicitaires à Lyon, poussé par la volonté d’embellir les villes en y installant gratuitement du mobilier urbain en échange de l’exclusivité de son exploitation publicitaire à des emplacements privilégiés. Depuis plus de 50 ans, les produits et services proposés aux villes par JCDecaux sont considérés comme la référence en matière d’écoconception, de qualité, d’esthétique et de fonctionnalité. Grâce au savoir-faire de ses collaborateurs, l’excellence des réalisations du Groupe, notamment en matière d’entretien et la maintenance, est reconnue mondialement par les villes, les autorités aéroportuaires et de transports, ainsi que les annonceurs. JCDecaux est le seul acteur mondial à exercer exclusivement le métier de la communication extérieure et à en développer toutes les activités : mobilier urbain, publicité dans les transports et affichage grand format. Pionnier en matière de communication extérieure digitale, JCDecaux offre aux annonceurs d’immenses opportunités créatives et une grande flexibilité, grâce à des campagnes sur-mesure et ciblées. Avec près de 60 000 écrans publicitaires digitaux dans le monde, JCDecaux déploie une nouvelle expérience de communication pour les marques. Elle s’appuie sur la dynamique de messages thématiques, ciblés, affinitaires et en temps réel. Désormais, les frontières du temps et de l’espace s’effacent au profit d’une communication contextuelle, permettant de plus interagir en direct avec les individus ou encore avec les réseaux sociaux. site web
Centre Wallonie-Bruxelles Direction : Stéphanie Pécourt Du périphérique au consacré Loin de constituer un mausolée qui contribuerait à la canonisation de l’héritage patrimonial de la culture belge francophone, le Centre est un catalyseur de référence de la création contemporaine dite belge – un espace de jonctions et d’intersections. Au travers d’une programmation résolument désanctuarisante et transdisciplinaire, le Centre est mandaté pour diffuser et valoriser des signatures d’artistes basé.e.s en Fédération Wallonie- Bruxelles, dans une perspective d’optimisation de leur irradiation en France. Il assure ainsi la promotion des talents émergents ou confirmés, du périphérique au consacré. Il contribue à stimuler les coproductions et partenariats internationaux et à cristalliser une attention en faveur de la scène dite belge. Le Centre dévoile, par saison, des démarches artistiques qui attestent de l’irréductibilité à un dénominateur commun des territoires poreux de création contemporaine. Situé dans le 4e arrondissement de Paris, face au Centre Pompidou, sa programmation se déploie sur plus de1000m2. Îlot déterritorialisé, il implémente également des programmations en Hors- les-Murs en synergie avec des institutions, opérateurs et évènements français. Le Centre est un service décentralisé de Wallonie-Bruxelles International (WBI) : instrument de la politique internationale menée par la Wallonie, la Fédération Wallonie- Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale. site web
Itinéraires des photographes voyageurs Depuis 1991, l'association " Itinéraires des photographes voyageurs " (animée par la fondatrice Nathalie Lamire Fabre et par Vincent Bengold) propose tous les mois d'avril à Bordeaux gratuitement au public entre sept et quinze expositions photographiques dans les principaux lieux culturels de la ville. Pour participer, un genre la photographie d'auteur et un thème le voyage sont privilégiés. Hormis cela, aucune limite. La sélection des expositions est effectuée par coups de cœur de l'équipe. Chaque année, le programme est composé d'expositions singulières : de la photographie humaniste classique à une photographie plus " contemporaine", l'association " Itinéraires des photographes voyageurs " est animée par une volonté d'éclectisme. Des photographes " reconnus " acceptent de nous rejoindre le temps d'une exposition : Cartier-Bresson, Max Pam, Jean Dieuzaide, Bernard Plossu, Raymond Depardon… Mais l'association tient également à soutenir des artistes moins connus du grand public, notamment les jeunes artistes aquitains comme Sarah Caron, Christophe Goussard, Polo Garat, Jacques Sierpinski, Philippe Pons ou Stéphane Klein… Un seul critère, la singularité des regards. La fidélité également est mise en exergue par l'association, celle avec nos partenaires (La Mairie de Bordeaux, le Gœthe Institut, l'Institut Cervantès, le consulat de Suisse, la bibliothèque municipale et les musées de Bordeaux, le Mercure Hôtel Bordeaux Château Chartrons, Fip..) et également avec des photographes et des professionnels de la photographie (l'association gens d'images…) qui nous soutiennent depuis plusieurs années. Depuis 2000 maintenant, " Itinéraires des photographes voyageurs " s'est associé à la société Pixels et Grains d'Argent qui propose au public l'ensemble des outils de communication, un site Internet présentant l'intégralité des expositions soit plus de 6000 photographies en ligne. site web
Le Bec en l'air Créé en 1999, Le Bec en l’air est un éditeur indépendant installé à Marseille. Un point commun réunit la plupart du temps nos publications : le dialogue entre l’image et le texte, entre photographie et récit, à travers une mise en page étudiée et des photographies d’auteur. Au fil des ans, le catalogue s’enrichit d’écritures photographiques variées qui trouvent néanmoins une cohérence éditoriale : la photographie comme outil de questionnement du monde contemporain, qu’il s’agisse de préoccupations documentaires, esthétiques ou intimistes. Photographes reconnus ou émergents s’y croisent, sans exclusion de style ou de sensibilité artistique. Le catalogue, composé de plus de 170 titres, est diffusé et distribué en France et en Belgique par Harmonia Mundi Livre depuis 2007 ; en Suisse par Zoé et au Canada francophone par Dimédia. Basés à Marseille, ils refusent l'étiquette d'« éditeur régionaliste » mais ils reconnaissent dans l'image d'un éditeur indépendant, ouvert sur le monde. En témoignent plusieurs coéditions avec des éditeurs étrangers (Algérie, Allemagne, Espagne, Italie, Mali, Royaume-Uni…) et leur participation à de nombreux salons du livre en France et à l'étranger. Le Bec en l'air est membre de l'association « Éditeurs du Sud » qui regroupe une quinzaine d'éditeurs indépendants de la région PACA et membre du Photobook Social Club qui réunit des éditeurs de livres photos indépendants français. site web
Vannes Photo Festival Dans le cadre de son passage au rythme de biennale, le projet artistique de Patric Clanet a pour ambition de faire autrement en s’adossant sur l’héritage existant. Ses principaux objectifs sont de renforcer l’ancrage du Festival sur le territoire touten accentuant son rayonnement régional et national. La thématique «?Photo et la mer?» n’est plus sa figure de proue mais sera abordée de manière plus inclusive. Aucun style photographique ne sera privilégié et sa programmation restera ouverte à toutes les formes de création et de monstration de la photographie contemporaine. L’identité de Vannes Photos Festival s’affirmera autour de quatre axes qui interagiront et prendront de l’ampleur au fil du temps. Le choix d’une des thématiques centrales sera déterminé par un «?comité citoyen?» en lien avec le territoire et ouvert aux grands enjeux sociétaux ; démarche qui s’inspire du protocole des «?Nouveaux Commanditaires?» en filiation avec la mise en oeuvre des droits culturels. A partir de cette thématique, un dialogue s’engagera et je proposerai des expositions d’artistes photographes français qui, à leur manière, apporteront leurs éclairages. Dans ce cadre, le partenariat historique avec les associations et clubs de photographes vannetais se poursuivra et prendra de l’ampleur. Un collectif de jeunes photographes bretons sera invité et un concours national sera lancé autour de cette thématique citoyenne. Eu égard à son ouverture maritime Atlantique, Vannes Photos Festival fera le focus sur la création photographique d’un pays sud-américain. En 2022 le Pérou sera l’invité d’honneur. Cette exploration se fera sous trois angles. La photographie patrimoniale ; en présentant des œuvres d’un/e auteur/rice ayant marqué l’histoire de la photographie de ce pays. La création contemporaine ; en exposant un/e artiste représentatif de la scène nationale. La génération émergente ; par le biais d’une soirée/projection qui en présentera un panorama. La thématique «?RHIZOME?» prendra place pour les trois années à venir au sein de l’espace Kiosque et interrogera les liens entre les humains et les autres espèces non humaines. Les artistes visuels qui seront invités nous aideront à voir autrement en préparant notre oeil à la rencontre avec le vivant afin de nous interroger sur ce que veut dire aujourd’hui la connaturalité dynamique entre les humains et leur milieu. Un espace de rencontres et de dialogue dédié à la critique photographique se mettra en place dès 2022 car «?apprendre à voir est à la portée de tous?». Quatre critiques de photographie français seront invités à dialoguer avec les artistes présents au sein d’un lieu ouvert au grand public sous la forme de «?Cafés des images?». La convivialité et l’échange avec le public seront au centre de ce projet pédagogique. Les différents dispositifs de médiation et d’animation existants seront maintenus et développés. Les partenariats avec les autres Festivals et Centres photographiques régionaux seront quant à eux renforcés. La participation et l’implication d’un plus grand nombre ainsi que le développement d’une ambiance conviviale et chaleureuse pendant et autour du Festival sont au cœur du projet. site web
La Villa Pérochon La Villa Pérochon, centre d’art contemporain photographique est situé à Niort et est reconnu d’intérêt national par le ministère de la culture. L’événement emblématique que sont les Rencontres de la jeune photographie internationale participe activement à sa reconnaissance au niveau national mais aussi internationale. Tous les publics sont concernés par sa programmation : 4 à 5 expositions par an et de nombreuses actions culturelles et de formation au cours de l’année pour les scolaires mais aussi pour tout public. Les Rencontres de la jeune photographie internationale réunissent tous les ans, durant une vingtaine de jours en résidence de création, huit artistes internationaux émergents autour d’un artiste ou personnalité de renom comme les derniers en date Denis Dailleux, Françoise Huguier, Klavdij Sluban, Olivier Culmann, Isabel Muñoz, Corinne Mercadier et cette année HJ Enström… Ni workshop, ni masterclass cette formule singulière est une véritable carte blanche, un lieu d’expérimentation, de confrontation et de recherche artistique. La reconnaissance par les milieux artistiques professionnels, amateurs et les réseaux de l’art contemporain de cette manifestation, outre la qualité de l’accueil proposé, est due à l’esprit et aux valeurs régnant lors de cette manifestation : l’exigence artistique, la liberté, le partage, le respect et la découverte. Aujourd’hui, plus que jamais, ces valeurs doivent être promues pour l’émergence de la jeune scène artistique. site web
The Anonymous Project En 2017, lorsque le cinéaste Lee Shulman achète une boîte aléatoire de diapositives vintage, il tombe complètement amoureux des personnes et des histoires qu'il découvre sur ces diapositives uniques de nos vies passées. Collectant et préservant des diapositives couleur uniques des soixante-dix dernières années, le projet est né d'une volonté de préserver cette mémoire collective et de donner une seconde vie aux personnes souvent oubliées, dans ces moments intemporels, capturés dans de superbes couleurs Kodachrome. Au début des années 1950, lorsque les prix de la photographie couleur baissent et deviennent accessibles aux amateurs et durant à l'essor des appareils photo numériques, la photographie couleur est rapidement devenue le support dominant pour capturer la vie quotidienne. Pas seulement des mariages, des remises de diplômes, des amis posant pour des amis, ou des familles se rassemblant pour des portraits, mais tout. La magie de la photographie couleur réside dans l'exposition des produits chimiques sur le film à la lumière, à ce moment-là la couleur est créée. Le problème étant que ces produits chimiques se dégradent avec le temps, ne laissant finalement aucune trace de l'image. La plupart des diapositives couleur ne survivent pas au-delà de 50 ans, à moins que des mesures de prévention ne soient prises. Cette partie colorée de notre mémoire collective, ces artefacts de la vie quotidienne des années 40 à l'ère numérique, disparaîtront complètement. Ces photographies amateurs sont un journal kaléidoscopique de cette époque, d'autant plus fascinant et saisissant de par leur qualité non polie. Souvent drôles, surprenantes et touchantes, ces images racontent les histoires de toutes nos vies. The Anonymous Project est à son tour devenu une entreprise artistique qui cherche à donner un sens à ces souvenirs autrefois oubliés et à créer de nouvelles façons d'interpréter et de raconter des histoires qui remettent en question notre place dans le monde aujourd'hui. site web
Usimages Organisée par l’Agglomération Creil Sud Oise sous la direction artistique de Diaphane, pôle photographique en Picardie, cette manifestation permet d’interroger la mémoire des entreprises et de mettre en lumière le travail des hommes, au travers un parcours d'expositions extérieures. Peut-on figurer le travail ? Garde-t-on dans nos albums personnels des traces de ces moments passés au travail ? Tout au long des XIXème et XXème siècles, les entreprises ont construit par la photographie une idéologie permettant de magnifier le progrès technique et l'ascension sociale comme seul épanouissement personnel. Ont-elles pour cela constitué une mémoire ? La modernisation de l'outil de production et l'automatisation ont fait disparaitre des entreprises la figure de l'ouvrier. La disparition du travailleur du champ de la photographie est métaphorique du concept économique qui veut une rentabilité immédiate par une diminution des coûts de production et de la main-d'oeuvre. Des hommes à la tâche facilement substituables et sans identité. Plus de représentation du travail, plus de travailleur, pour un profit accru. Les photographes ont donc bien une responsabilité dans la production des images et dans l'idéologie qu'ils acceptent ou non de servir. La mise en perspective des expositions de cette biennale permettra de susciter des interrogations et de nous faire réfléchir sur le rôle des images dans la mise en place d'une idéologie des médias. site web
Festival Photo du Guilvinec - L'homme et la mer S’il est un territoire dont la dimension maritime est l’une des caractéristiques premières, c’est sans doute le Pays de Cornouaille en Bretagne. C’est à cette maritimité que le Festival Photo l’Homme et la Mer veut rendre hommage depuis sa 1ère édition en 2011 au Guilvinec en même temps qu’il souhaite illustrer les liens forts qui unissent, en de nombreux endroits de la planète, l’homme, la mer et son littoral. Mélange des genres, la mer nourricière, la mer comme espace récréatif, ludique, onirique, mélange des époques, version noir et blanc, ou couleur, les expositions réunissant de plus en plus de photos, témoignent de démarches artistiques propres. : ainsi des reportages aux couleurs parfois très contrastées côtoient des atmosphères plus évanescentes, l’empreinte sépia de vieilles photos partage la scène avec des reportages contemporains, la bande dessinée répond aux œuvres plasticiennes en couleur. Le festival se veut, ainsi, essentiellement éclectique, afin d’être identifié comme un lieu ouvert à tous, artistes et publics. La programmation si elle doit comporter prises de risque dans le choix des œuvres exposées ne doit pas dérouter la population locale et les visiteurs. L’autre objectif de l’association est de vouloir un festival hors les murs et de faire sortir l’art de l’espace conventionnel du musée et de l’entre-soi traditionnellement qui y est lié. Les expositions s’offrent à tous gratuitement et vont au devant du public, en premier lieu de toute la population locale et des visiteurs en prenant pour appui les rues, les façades des maisons, les bâtiments du port de pêche Par ailleurs, le caractère démocratique du médium photographique permet de rencontrer les populations les plus diverses et éloignées sociologiquement et culturellement de toute proposition artistique. site web
Fédération des Ascenceurs La Fédération des Ascenseurs, dont la création remonte à plus de 100 ans, représente l’ensemble de la profession : entreprises intégrées, exploitants maintenance, équipementiers ou prestataires de services et supports, y compris depuis 2016 les professionnels des appareils élévateurs. Ce sont donc l’ensemble des solutions de mobilité verticale qui y sont représentées, à travers les TPE, PME et groupes. Les 177 entreprises aujourd’hui adhérentes de la Fédération représentent près de 90% de l’activité économique du secteur et environ 17 000 salariés. La Fédération joue un rôle clé dans l’appréhension des enjeux sociétaux et économiques liés au secteur : assurer le rôle d’expert, instruire les dossiers communs à la profession, promouvoir la sécurité et informer ses adhérents sur l’évolution de la réglementation mais aussi les intervenants (prescripteurs, maîtres d’ouvrage, gestionnaires, architectes...) ainsi que les propriétaires et les utilisateurs d’ascenseurs. Elle assure également un rôle de porte-parole auprès des pouvoirs publics nationaux et des institutions européennes. Avec 620 000 appareils en service et 100 millions de trajets chaque jour en France, l’ascenseur est le moyen de transport le plus fiable et le plus utilisé dans le pays. La nécessité de maintenir et de moderniser cet important parc d’ascenseurs, et l’installation de nouveaux équipements pour répondre aux enjeux urbains des nouvelles métropoles entraînent d’importants besoins de recrutement. La profession prévoit de recruter entre 1000 et 1500 personnes par an dans les dix prochaines années, issues des formations spécifiques développées avec les partenaires Lycées et Centres de Formation. site web
Stimultania Stimultania - Pôle de Photographie Strasbourg & Givors Depuis 1987, Stimultania Pôle de photographie est au carrefour des interrogations de ce monde. Stimultania défend une photographie en prise avec l’Homme, une photographie debout, investie, sans distance frileuse, vive et écorchée. Son objectif : faire découvrir – dans les meilleures conditions – des œuvres photographiques et donner au regardeur la possibilité de vivre des expériences individuelles et collectives, d’exprimer des critiques. Stimultania travaille dans le champ de l’éducation à et par l’image photographique en développant notamment un outil pédagogique innovant, LES MOTS DU CLIC. Lieu unique pour ne pas dire mythique, le premier établissement de Stimultania, fondé en 1987 à Strasbourg, est un lieu d’exposition et un pôle de ressource. C’est aussi un espace de rencontre, de liberté et parfois de résistance. Le second établissement, ouvert en 2014 à Givors, est dédié à l’accompagnement des résidences d’artistes et à la production d’œuvres collectives. Stimultania reçoit le soutien de la DRAC Grand Est et de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes / ministère de la Culture, du ministère de la ville, de la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités du Grand Est, de la Région Grand Est et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Collectivité européenne d’Alsace, de la Ville et Eurométropole de Strasbourg, de la Métropole de Lyon, de la ville de Givors, du gîte Un olivier dans les étoiles et de la cave Au fil du vin libre. Stimultania intervient dans le cadre de Strasbourg Capitale Mondiale du Livre UNESCO 2024. Stimultania est également membre des réseaux Plan d’Est - Pôle arts visuels Grand Est, Arts en résidence, Tôt ou t’Art et Traces site web
MPG2019 À l’initiative du Département des Bouches-du-Rhône et porté par Provence Tourisme, Marseille Provence Gastronomie 2019 se déploie sur l’ensemble des Bouches-du-Rhône pour célébrer l’art populaire de la gastronomie. C’est aussi une année pour célébrer les savoir-faire de l’ensemble des acteurs d’une filière transversale et emblématique de notre territoire. De la production à la transformation, de la réalisation au service, chacun apporte sa pierre à l’édifice d’une destination gastronomique de référence. Rencontres de chefs, marchés gourmands, pique-niques avec vue, potagers urbains… C’est tout un voyage gastronomique au détour de paysages et de produits d’exception qui se dessine sur la carte du territoire de mars à décembre. A travers des manifestations prestigieuses ou des rendez-vous de proximité, les communes des Bouches-du-Rhône vont mettre à l’honneur les saveurs, recettes et produits traditionnels du terroir, issus des filières agricoles et viticoles locales. Une mise en lumière également des chefs et des meilleures tables, des artisans des métiers de bouche et des arts de la table et au-delà, de tous ceux qui œuvrent à l’image d’une Provence gastronomique. Cette nouvelle aventure, associant talent, passion et créativité, est destinée à dynamiser le made in Provence et à valoriser la destination auprès des visiteurs en quête de qualité et d’authenticité. Parrainée par le chef triplement étoilé Gérald Passedat, Marseille Provence Gastronomie 2019 sera une année gourmande et populaire, une année généreuse et festive, une grande et belle année ! site web
Rencontres Photographiques d'Arlon Nées en 2010, programmées en biennale à l’issue de l’édition de 2014 les Rencontres Photographiques d’Arlon ont pour but d’amener la photographie à la rencontre du grand public. Notre ligne directrice s’articule autour de plusieurs objectifs forts : • Le premier est artistique avec les Rencontres au Palais. Les Rencontres qui réunissent au sein du palais 20 auteurs photographes. Ces artistes, retenus sur base de projet, présentent au travers de leur travail un mélange des genres et une ouverture vers les différentes formes d’expressions photographiques. Cette programmation est rehaussée pour cette 9ème édition par la présence de notre invité Christophe Jacrot avec sa série « Lost in bad weather » • Le deuxième est pédagogique avec l’organisation de stages, d’ateliers et de conférences autour de la photographie. • Le troisième est l’échange et la synergie. Échange bien sûr, avec les différents clubs photographiques de la province du Luxembourg (mais aussi du reste de la Belgique, du Grand-Duché de Luxembourg, de la France et de l’Allemagne). Ces échanges encourageant les collaborations avec les artistes de la Grande région. Synergie avec les galeries d’art « Subtile » à Luxembourg et « Photostuff » à Esch sur Sure au Luxembourg. « Sbutile » proposera durant tout le mois de mai un « teaser » sur les rencontres en exposant un extrait de tous les projets sélectionnés. « Photstuff » présentera durant juillet- août un photographe issu du palmarès de l’édition 2024. Synergie et partenariat avec Wipplay.com avec l’organisation du concours photo « Le monde fait son show » site web
Nordic Light Rencontrez les Maîtres de la Photographie à Kristiansund ! Pendant le Festival International de Photographie Nordic Light, des légendes mondiale de la photographie, des photographes aspirants, des étudiants en photographie et d'autres intéressés par la photographie, l'art et la culture, se réunissent dans la ville intime et charmante de Kristiansund - uni par la passion commune pour la photographie. Le programme de festival présente des cours, des expositions, des pourparlers en galerie, des signatures de livre, des ateliers, des examens de portefeuille, des films de petit-déjeuner … Chaque année nous invitons autour de 20 photographes invités à donner des leçons et-ou à exposer à notre festival. Le directeur Artistique du festival est le Photographe norvégien Morten Krogvold, qui joue un rôle central dans la fabrication de notre festival internationalement acclamé. Nordic Light a eu le plaisir d'avoir des photographes de renom comme Anton Corbijn, Albert Watson, James Nachtwey, William Klein, Mona Kuhn, Greg Gorman, Sarah Moon, Knut Bry et John Swannell. Notre emplacement intime et étonnant facilite des réunions uniques entre les photographes légendaires et les visiteurs de festival. À ce festival vous pourrez rencontrer les stars du monde de la photographie en face à face, aux expositions, aux cours ou même au pub du festival. Mais le Nordic Light c’est aussi une grande ouverture sur les rencontres séduisantes entre publics, amateurs et professionnels de la photographie. Il s'agit de partager des histoires et des expériences et cela entouré par la belle lumière bleue de l'Océan Atlantique. Nordic Light 2018: le 25-29 avril à Kristiansund en Norvège.  Photographes confirmés : Andres Serrano, Joyce Tenneson, Olivia Parker, Steve Pyke, Joey L. Roger Ballen et Asger Carlsen, Massimo Leardini, Linda Connor, Akseli Valmunen, Andrea Gjestvang, Pål Laukli et plus encore. site web
Le Bouclard Le Bouclard est un salon de coiffure / concept store situé dans le 20ème arrondissement de Paris, au 56bis rue Olivier Métra. C’est un projet qui peut sembler avoir émergé très vite ; mais pour être honnête, depuis le temps que j’entendais mes clients et amis me dire « Alors Yessica, quand est-ce que tu ouvres ta boutique ? », je pense que ce projet mûrissait depuis bien longtemps dans mon inconscient. Alors voilà, aujourd’hui j’ai mon Bouclard ! Un salon hybride, un peu comme moi... Hybride parce que je n’ai pas voulu me contenter d’un salon de coiffure ; j’ai voulu un véritable lieu de vie, animé par l’envie que chacun puisse y mettre ou y trouver ce dont il a envie. L’aspect concept store du Bouclard est avant tout une galerie où vous trouverez les œuvres d'artistes et amis pour la plupart, où vous partagerez mon univers à travers les leurs. Mais je ne suis pas seule dans l’aventure ! Le Bouclard résulte de mon association avec Amandine, celle que j’appelle pour vous « ma nièce ». Dans ce projet, j’aime à dire qu’elle est la tête et que je suis le cœur. Même si son rôle peut paraître très administratif, il n’y a pas un détail du Bouclard qui n’ait été pensé sans elle, et elle est le déclic qui a permis que cette boutique voit le jour. J’espère que vous aurez l’occasion de la croiser par-ci par-là, sûrement lors des vernissages ou simplement à la fin d’une journée. Mais si vous me connaissez, vous devez déjà avoir l’impression de la connaître : il est quand même bien rare que je ne parle pas d’elle, j’en suis tellement fière ! Et puis, Le Bouclard c’est également une aventure humaine incroyable, où mon entourage le plus proche - ou tout simplement le plus confiant - a redoublé de générosité (quelle que soit la forme de celle-ci), et parfois en supportant mes angoisses, mes pleurs et mes cris (c’est pas les paroles d’une chanson ça ?) site web
Le Bouclard Le Bouclard est un salon de coiffure / concept store situé dans le 20ème arrondissement de Paris, au 56bis rue Olivier Métra. C’est un projet qui peut sembler avoir émergé très vite ; mais pour être honnête, depuis le temps que j’entendais mes clients et amis me dire « Alors Yessica, quand est-ce que tu ouvres ta boutique ? », je pense que ce projet mûrissait depuis bien longtemps dans mon inconscient. Alors voilà, aujourd’hui j’ai mon Bouclard ! Un salon hybride, un peu comme moi... Hybride parce que je n’ai pas voulu me contenter d’un salon de coiffure ; j’ai voulu un véritable lieu de vie, animé par l’envie que chacun puisse y mettre ou y trouver ce dont il a envie. L’aspect concept store du Bouclard est avant tout une galerie où vous trouverez les œuvres d'artistes et amis pour la plupart, où vous partagerez mon univers à travers les leurs. Mais je ne suis pas seule dans l’aventure ! Le Bouclard résulte de mon association avec Amandine, celle que j’appelle pour vous « ma nièce ». Dans ce projet, j’aime à dire qu’elle est la tête et que je suis le cœur. Même si son rôle peut paraître très administratif, il n’y a pas un détail du Bouclard qui n’ait été pensé sans elle, et elle est le déclic qui a permis que cette boutique voit le jour. J’espère que vous aurez l’occasion de la croiser par-ci par-là, sûrement lors des vernissages ou simplement à la fin d’une journée. Mais si vous me connaissez, vous devez déjà avoir l’impression de la connaître : il est quand même bien rare que je ne parle pas d’elle, j’en suis tellement fière ! Et puis, Le Bouclard c’est également une aventure humaine incroyable, où mon entourage le plus proche - ou tout simplement le plus confiant - a redoublé de générosité (quelle que soit la forme de celle-ci), et parfois en supportant mes angoisses, mes pleurs et mes cris (c’est pas les paroles d’une chanson ça ?) site web
Fake Hair Don't Care C’est 3 individus, Cindy, Magid et Ines, qui après avoir vécu le cancer indirectement se sont dit qu’il était temps de faire bouger les choses au niveau du bien-être des personnes touchées par cette maladie. Étant encore étudiantes à l’époque, Cindy et Ines, n’avaient pas beaucoup de temps, ni d’argent à donner aux associations. Après des heures passées dans les hôpitaux aux chevets de certains membres de leurs familles, l’équipe s’est vite aperçue qu’en dehors de l’hôpital les patients n’étaient pas assez pris en charge. La problématique de la perte de cheveux et des solutions capillaires excessivement coûteuses s’est très vite imposée à eux. Ils ont donc conçu cette association visant principalement à récolter des cheveux pour fabriquer des perruques à destination des personnes atteintes de cancer (Femmes, Hommes et enfants). Cette association, ils l’ont voulu ouverte à tous, ne faisant aucune discrimination quant au type de cancer, au sexe, ou à l’âge. Fabriquant directement les perruques, l’association FHDC est la seule à récupérer les dons de cheveux de n’importe quelle nature et ce dès 10cm. Les cheveux peuvent être colorés, décolorés teints au henné, ils sont acceptés ! La seule condition est qu’il soient en bonne santé. Autrement dit, les cheveux ne doivent pas être fourchus (ou très peu), ni dévitalisés. Au moindre doute, un petit tour chez le coiffeur pour vérifier ne fait pas de mal ! Afin que ces mèches soient utilisables, la procédure de coupe décrite sur notre site internet, doit être respectée à la lettre ! site web
Musée Picasso Déployée sur les cinq niveaux de l’hôtel Salé, l’exposition anniversaire « ¡ Picasso ! » illustre la continuité et la profonde unité de la collection et de l’histoire du musée. Le Musée national Picasso-Paris conserve une collection couvrant toutes les périodes de sa création et tous les domaines, dont les « Picasso de Picasso » venus directement de l’atelier de l’artiste. Les archives personnelles de Pablo Picasso, puis celles du musée, sont au cœur de ce projet d’exposition. Elles résonnent avec les chefs-d’œuvre et, en vaste majorité inédites, permettent de lire autrement la vie, le processus créatif et la diffusion de l’œuvre du maître. Un grand collage visuel invite les visiteurs à parcourir les cinq niveaux de l’hôtel Salé en partant de l’histoire du musée (sous-sol), pour découvrir une présentation chronologique d’œuvres majeures (rez-de-chaussée et 1er étage), puis « Pablo Picasso, figure publique » (2e étage), et rencontrer le « Picasso intime » (3e étage). C’est une lecture contemporaine des œuvres de Picasso qui alterne entre des salles proposant un accrochage dense et des séquences plus intimistes. L’exposition en un clin d’œil : 5 parties distinctes : De l’atelier au musée, Picasso 1897-1929, Picasso 1922-1973, Picasso figure publique, Picasso intime – 105 peintures (dont 86 de Picasso) – 92 sculptures dont 22 céramiques, 13 objets et 1 œuvre textile – 192 œuvres d’arts graphiques (186 de Picasso) dont 94 dessins, 20 carnets, 10 livres illustrés, 62 estampes et 6 matrices d’estampes – 190 photographies – 1 installation contemporaine – 4 films et environ 30 extraits INA – 314 archives dont 223 documents et correspondances, 38 périodiques, 31 ouvrages et 22 objets site web
KYOTOGRAPHIE Inspiré par les Rencontres d’Arles, Le Festival International de Photographie KYOTOGRAPHIE revient pour sa quatrième édition et investit du 23 avril au 22 mai, les plus beaux monuments historiques de la ville de Kyoto ( vieilles maisons de thé, fabrique de Kimono, temples et jardins). Avec plus de 60 000 entrées enregistrées en 2015, KYOTOGRAPHIE est devenu un évènement artistique d’envergure réunissant à la fois amateurs de la photographie, professionnels et grand public. Cette année le Festival accueille 17 expositions réunissant des photographes japonais et internationaux de premier plan et explore le theme « CIRCLE of LIFE ».KYOTOGRAPHIE propose également au public de très nombreux évènements et workshops en marge des expositions, une masters class en partenariat avec ICP New York ainsi qu’ un portfolio Review. Pour toutes informations : http://www.kyotographie.jp/en/ Le festival KG +, satellite de KYOTOGRAPHIE accueille les photographes émergents. C’est un lieu de rencontres privilégié pour les photographes, les commissaires d’exposition et les galeries. Pour cette 4ième édition, l’objectif de KG + est de donner une scène internationale aux photographes japonais ainsi que d’accueillir des artistes internationaux. C’est également de rendre l’art photographique plus accessible au grand public, de rencontrer les communautés locales et de favoriser les échanges culturels et les découvertes, en étant présent, grâce aux nombreux lieux d’expositions un peu partout dans la ville. Chaque année un artiste de KG+ est récompensé par le KG?AWARD by Grand Marble. Le gagnant sera invité à exposer dans l’édition 2017 du festival KYOTOGRAPHIE site web
RMMRN Réunion des musées métropolitains Rouen Normandie Depuis le 1er janvier 2016, neuf musées se sont réunis sous l’égide de la Métropole Rouen Normandie à Rouen, le musée des Beaux-Arts, le muséum d’Histoire Naturelle, le musée de la Céramique, le musée Le Secq des Tournelles, le musée des Antiquités et la Tour Jeanne d’Arc, à Elbeuf la Fabrique des savoirs, à Petit Couronne le musée Pierre Corneille et à Notre-Dame-de-Bondeville le musée de la Corderie Vallois. Cette initiative a pour but de préserver le patrimoine existant pour les générations futures, mais aussi de le revisiter, de le mettre patiemment en valeur, et ainsi de renouveler sans cesse l’envie, le plaisir, la curiosité, l’élévation que l’on gagne à fréquenter ce patrimoine exceptionnel. Dans chacun de ces établissements se conjugue à la fois la grande Histoire et celle de son territoire. On y renoue avec l’esprit encyclopédique qui est à l’origine même de la notion de musée, mais aussi les témoignages uniques du génie des grands maîtres comme celui des artisans anonymes. Autant de lieux pour se ressourcer, pour stimuler l’imagination et la créativité, pour comprendre l’évolution des sociétés et remonter aux sources des grands débats du monde contemporain. Parce que ces trésors de la Métropole Rouen Normandie, collectés et préservés à travers les siècles, ont une valeur universelle, l’accès aux collections permanentes est désormais gratuit, pour tous, toute l’année. A cela s’ajoute une riche programmation d‘expositions temporaires comme celle visible jusqu’au 26 septembre 2016 au Musée des Beaux-Arts de Rouen : Scènes de la vie impressionniste. C’est autour de ces « scènes » de vie et de l’intimité que Wipplay et le musée ce sont associés pour lancer un grand concours photo cet été. site web
Les Rencontres d'Arles Créées en 1969, Les Rencontres d’Arles sont le premier festival de photographie de renommée internationale. Près d’une quarantaine expositions y sont présentées chaque année tout l’été dans une vingtaine de lieux patrimoniaux de la ville d'Arles. Pendant la semaine d’inauguration, des soirées de projections sont proposées au Théâtre Antique. Des débats et conférences, des lectures de portfolios permettent de confronter les divers courants de la photographie. Toute l’année, sont également organisés des actions pédagogiques en milieu scolaire et des stages photographiques dispensés par des photographes de renom. Incubateur culturel, le festival, entre événements et expositions, combine temps court et temps long. Il est une radiographie annuelle de la création photographique doublée d’un esprit festif. Chaque année, il révèle les tendances, ouvre des voies, décrypte les images, produit du sens, fabrique du contenu. Centre d’expérimentations et de recherches transversales, le festival s’interroge avec les artistes sur l’état du monde. Hybridation, contamination, confrontation, friction…, la photographie se réinvente par contact, au croisement des disciplines et des tendances. Elle est en elle-même un lieu de rencontres aux dialogues transdisciplinaires qui rappellent sa vigueur. Aujourd’hui encore, la photographie continue de nous surprendre par sa capacité à mobiliser des enjeux artistiques mais aussi sociaux, culturels, historiques… Et les biens nommées Rencontres de la photographie agissent comme une caisse de résonnance, se faisant l’écho et le promoteur des pratiques artistiques tant historiques que contemporaines. site web
Show Speak Profitez de vos morceaux préférés au réveil, en voiture, au bureau, en vacances, ou encore passez un appel téléphonique urgent tout en prenant tranquillement votre douche, avec un seul et unique appareil. C’est possible avec le Show Speak. Et quand vous l’aurez vu et entendu, il n’y a aucun doute, il deviendra un accessoire incontournable de votre quotidien. Le Show Speak a été conçu pour combler les défaillances des enceintes traditionnelles. C’est tout d’abord un objet design et compact. À la différence de ses compétiteurs, il est facile à ranger et à transporter de par sa petite taille. Vous pourrez aussi le fixer où bon vous semble, grâce à la nouvelle ventouse adhésive intégrée. Vous aurez la possibilité de l’utiliser aussi bien dans votre cuisine, dans votre salle de bain, à la piscine ou au parc, quel que soit le temps. Et, cerise sur le gâteau, les couleurs sont pop ! De quoi égayer les journées, mêmes les plus moroses. Ce qui distingue par-dessus tout le Show Speak de ses pairs, c’est qu’il est waterproof. Donc, pas besoin de vous inquiéter si vous l’avez involontairement ou volontairement… aspergé d’eau ! C’est aussi un produit qui a été conçu pour résister à divers chocs, vous pouvez ainsi le ranger dans un carton lors d’un déménagement sans avoir à vous demander si une fois arrivé à destination, il sera encore utilisable grâce à la nouvelle ventouse amovible facilement. Cependant, ne vous fiez pas à son apparence, la qualité du son obtenue est tout simplement exceptionnelle. Il dispose aussi d’une autonomie d’écoute de 6 heures ce qui vous laisse une certaine marge d’utilisation avant d’être rechargé avec le câble USB fourni. site web
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