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La famille reste mon seul repère.
Enfant, je joue à la ferme familiale avec un seau rempli de souris sauvages. Je m’en occupe mais elles me mordent. Je pleure. Mon père me raconte son enfance. Comme un monde à part, loin de ce que je connais. Une époque sans télévision, sans voiture, sans jeux vidéos.
Je ne le sais pas encore, mais un jour je renouerai avec ce monde là.
Des rencontres, des lieux où j’ai grandis, j’en fais mon inspiration photographique.
Le genre documentaire devient alors mon point de départ. Je m’attache à un lieu, à une histoire. Ma démarche est sociale, une expérience dans laquelle tout le monde y gagne, ceux que je photographie et moi.
Les conséquences.
Alors je cherche une raison de photographier. Les conséquences de mon projet vont-elles être gratifiantes ou positives pour les gens ?
Mon leitmotiv reste l’intime. Avec mon boîtier argentique, ma bulle d’intimité rencontre celle des autres. Sans les brusquer, toujours garder une distance. Créer des liens avec l’autre, dans un espace qui lui est propre, loin du studio photographique.
J’enregistre. Des sons, des réactions, des paroles, ce qui m’entoure. La vidéo complète cette démarche. Et j’écris. J’écris pour ne pas oublier.
Enfant, je voulais changer le monde. Aujourd’hui j’essaye de me changer. J’aimerai changer le monde des gens qui m’entoure ou que je croise. En savoir plus
Enfant, je joue à la ferme familiale avec un seau rempli de souris sauvages. Je m’en occupe mais elles me mordent. Je pleure. Mon père me raconte son enfance. Comme un monde à part, loin de ce que je connais. Une époque sans télévision, sans voiture, sans jeux vidéos.
Je ne le sais pas encore, mais un jour je renouerai avec ce monde là.
Des rencontres, des lieux où j’ai grandis, j’en fais mon inspiration photographique.
Le genre documentaire devient alors mon point de départ. Je m’attache à un lieu, à une histoire. Ma démarche est sociale, une expérience dans laquelle tout le monde y gagne, ceux que je photographie et moi.
Les conséquences.
Alors je cherche une raison de photographier. Les conséquences de mon projet vont-elles être gratifiantes ou positives pour les gens ?
Mon leitmotiv reste l’intime. Avec mon boîtier argentique, ma bulle d’intimité rencontre celle des autres. Sans les brusquer, toujours garder une distance. Créer des liens avec l’autre, dans un espace qui lui est propre, loin du studio photographique.
J’enregistre. Des sons, des réactions, des paroles, ce qui m’entoure. La vidéo complète cette démarche. Et j’écris. J’écris pour ne pas oublier.
Enfant, je voulais changer le monde. Aujourd’hui j’essaye de me changer. J’aimerai changer le monde des gens qui m’entoure ou que je croise. En savoir plus
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La famille reste mon seul repère.
Enfant, je joue à la ferme familiale avec un seau rempli de souris sauvages. Je m’en occupe mais elles me mordent. Je pleure. Mon père me raconte son enfance. Comme un monde à part, loin de ce que je connais. Une époque sans télévision, sans voiture, sans jeux vidéos.
Je ne le sais pas encore, mais un jour je renouerai avec ce monde là.
Des rencontres, des lieux où j’ai grandis, j’en fais mon inspiration photographique.
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J’enregistre. Des sons, des réactions, des paroles, ce qui m’entoure. La vidéo complète cette démarche. Et j’écris. J’écris pour ne pas oublier.
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Les conséquences.
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Enfant, je voulais changer le monde. Aujourd’hui j’essaye de me changer. J’aimerai changer le monde des gens qui m’entoure ou que je croise.