Du 26 février au 14 avril, Wipplay, le Festival Images Singulières et Maison Fortant se sont associés pour le concours TERRE DES HOMMES. Les amoureux de la nature, les protecteurs de l’environnement ou encore les passionnés de culture de terroir, étaient invités à mettre en lumière la communion entre la terre et les hommes !
Le jury composé de Hugues de Wurstemberger – photographe, Valérie Laquittant – Directrice de l’association CéTàVOIR qui porte le festival ImageSingulières, Gilles Favier – Directeur artistique du festival ImageSingulières, Frédérique Hermine – journaliste/photographe en vins et spiritueux et Laurent Sauvage – Directeur et viniculteur de la Maison Fortant, ont élu les 3 lauréats du concours. 3 images, 3 dialogues différents entre l’Homme et son environnement. Découvrez les des jurés.
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🥇 1er prix du jury 🥇
« The last cliché » par Chrblack, à Saint-Jean-de-Luz, Pyrénées Atlantiques
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« Une image particulièrement graphique dont le noir & blanc très contrasté et les lumières d’orage renforcent la puissance. Les lignes tranchées des éléments rendent bien dérisoire la dimension humaine avec des promeneurs « lilliputiens » dans cette nature grandiose. Cette côte basque aux accents celtiques apparaît ainsi majestueuse tout au bout du littoral français. »
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🥈 2ème prix🥈
« Réunion au sommet » par Adrien Roux, en Islande
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« Les effets de couleur et de textures font presque de cette image une photo noir et blanc colorisée en 3D, comme une sculpture ou une peinture sur tissu qui donne bien la mesure et la puissance de la nature islandaise. Le cadrage écrase complètement l’élément humain au sommet de ce glacier qui ressemble à du papier froissé. Ce glacier, symbole de la force de la nature et pourtant l’un des éléments les plus fragilisés par l’action des hommes sur leur environnement et de plus en plus menacé. Une belle évocation de la cohabitation entre Terre et hommes. »
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🥉 3eme prix🥉
« Dans les mines de sel » par BenC, à Cuzco, Pérou
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« La dureté du travail du sel où l’homme apparaît si fragile dans cette mosaïque ciselée. Les angles et les couleurs de terre réhaussées par les lignes d’un blanc éclatant renforcent la tristesse et la profondeur du paysage, qui donne presque le vertige. Une diagonale bien travaillée qui fait de cette saline péruvienne un tableau émouvant ! »
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