Chaque vendredi de décembre, l’équipe Wipplay vous prépare une petite sélection de livres à offrir pour Noël. Ces ouvrages sont édités chez nos partenaires chéris, avec lesquels nous organisons des concours tout au long de l’année. La liste est si belle qu’on vous les remet ici : Éditions Textuel, Éditions Filigranes, Éditions Le Bec en l’air, Éditions Loco, Atelier EXB !
Pour cette première sélection, nous avons retenu des ouvrages qui pourraient plaire aux globe-trotters qui vous entourent. N’hésitez pas à leur offrir l’un de ces ouvrages, ça fait toujours plaisir.
🇮🇳 « India » 🇮🇳
par Harry Gruyaert
Atelier EXB
135 photographies
45€
À travers une dizaine de voyages sur plus de 40 ans, Harry Gruyaert a parcouru inlassablement la péninsule indienne et nous livre dans cet ouvrage un témoignage de ce pays en tension où coexistent en permanence tradition et modernité, effervescence et tranquillité. De multiples détails, différentes strates, s’enchevêtrent dans ces photographies, pour la plupart inédites, qui oscillent entre puissance chromatique et une palette quasi monochrome. L’air est saturé de couleurs, de lumière, de bruits, parfois de silence aussi. En restituant l’expérience multi sensorielle qu’il a perçue au fil des ans face aux mystères de ce pays, le photographe belge dresse un tableau contrasté à rebours de tout exotisme.
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🇬🇭 « Ghana » 🇬🇭
par Denis Dailleux
Éditions Le Bec en l’air
55 photographies
42€
Denis Dailleux est célèbre pour le portrait inédit et passionné de l’Égypte qu’il élabore depuis plus de quinze ans. En quête de nouveaux espaces de création, il se rend aussi régulièrement au Ghana depuis 2009. Les pêcheurs du port de James Town, ancien quartier d’Accra, la capitale, sont devenus l’un de ses sujets favoris. Il trouve au sein de cette communauté une source d’images fortes : marines aux ciels changeants, ballets des pêcheurs, vie des femmes et des enfants qui travaillent sur le port… Il y explore de nouvelles relations au corps et à l’espace, à la vie et à la mort, à la religion, à la mer, qui renouvellent sa photographie. La sérénité, l’évidence picturale de ses images réenchantent un monde et des territoires aujourd’hui menacés et sont, à ce titre, d’autant plus précieuses.
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🇺🇸 « New York – Années 50 » 🇺🇸
par Jean Bizien
Éditions Filigranes
49 photographies
30€
« Jean Bizien débarque aux États-Unis en 1946. Il découvre le pays par une ville : New York. Une cité faite de centaines d’autres villes, de milliers de Villages d’Irlande, d’Italie, de Russie, de Chine, du Mali, d’Afrique du Sud, du Mexique, du Brésil… Des millions d’hommes si différents se côtoient, vivent, commercent en paix. Les humains photographiés par Jean Bizien sont des villageois dans une ville aux immeubles immenses. Ils prennent leur temps, posent leurs journaux sous leurs fesses et regardent la vie bouger. Ils jouent aux dames, couverts de gros pardessus laineux. Ils dorment dans la rue pour se reposer, l’après-midi. Par misère parfois. New York est familière, dure et douce. Elle se transforme en ville méditerranéenne. En ville froide et enneigée. En ville de plaisir et de fête. En ville d’enfants, qu’ils soient des adultes ou de vrais enfants. En ville d’hommes seuls, qui se protègent des larmes avec des journaux sous le dos ou les mains fermées sur leur visage. Jean Bizien est là pour recueillir toute cette humanité. Son appareil est comme une bouteille de vin qui a emprisonné les saveurs et les amertumes, les images et les élans d’une époque. Il a ouvert, il y a peu de temps, le bouchon du temps. » Olivier Couqueberg
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🇮🇪 « Dublin Trilogie » 🇮🇪
par Eamonn Doyle Kevin Barry Niall Sweeney Sean O’Hagan
Éditions Textuel
272 pages
49€
La découverte du travail d’Eamonn Doyle à Arles l’été 2017 pour sa première exposition en France a été un choc. Il avait jusqu’alors autoédité 3 livres, tous épuisés. Les voici réunis dans cette première monographie complète qui rassemble les trois séries « i », « ON » et « END » ainsi que des images inédites. Doyle photographie au pied de sa porte à Dublin, sur Parnell et O’Connell Street. Il capte les corps, postures, géométries, mouvements, souffles, avec un jeu savant de variations d’échelle. La rue ne divulgue chez lui rien de sa géographie. Doyle cadre serré les protagonistes de ses images, avec dépouillement et une extrême physicalité.
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