Jeudi 22 novembre avait lieu la remise des prix du jury du concours photo IL ÉTAIT UNE FOIS DEMAIN organisé par Wipplay, à l’occasion du bicentenaire de la Caisse d’Epargne. Vous avez été très nombreux à jouer le jeu et nous avons reçu des milliers d’images d’un monde innovant et d’une société engagée.
L’exceptionnel jury – avec notamment Yann Arthus-Bertrand et Alain Genestar – s’est retrouvé pour remettre les prix aux auteurs des plus belles photographies, accrochées pour l’occasion à la Galerie Polka.
Alain et Adelie Genestar, Yann Arthus-Bertrand et Julie Plus (Boss de Wipplay) © Vincent FERLICOQ
Yann Arthus-Bertrand et Alain Genestar © Vincent FERLICOQ
Les lauréats "Il était une fois demain" à la galerie Polka. © Vincent FERLICOQ
Au micro, Alain Genestar (Directeur de Polka Magazine) © Vincent FERLICOQ
Sabine Raymond (3e prix du jury) et Julie Plus. © Vincent FERLICOQ
Ernesto Lopez Fune (1er prix du public) © Vincent FERLICOQ
Virginie Fromentin (coup de coeur du jury) et Jean Arondel (Caisse d'Epargne) © Vincent FERLICOQ
Virginie Fromentin (coup de coeur du jury) © Vincent FERLICOQ
Maxime Reynie (2ème prix du jury) © Vincent FERLICOQ
Maxime Reynie (2ème prix du jury), Julie Plus et Adelie Genestar. © Vincent FERLICOQ
Ils l’ont dit, on le répète
Alain Genestar réagit à la lecture du texte inscrit à la craie sur l’image de Natalia Kovachevski (1er prix du jury) : « Il faudrait que nous soyons tous plus « lents à la colère »… Il y aurait probablement nettement moins de guerres et de conflits de société(s) ».
Yann Arthus-Bertrand est également conquis par l’image. Sa fondation Goodplanet – qui expose des photographies dans plus de 57 000 établissements scolaires – souhaite intégrer la photographie de Natalia dans son editing 2019.
Devant la « planète bleue » de Van.B (2e prix du public) Yann Arthus-Bertrand s’exclame : « Et moi qui pensais avoir l’exclusivité du talent pour les photos prises depuis un hélicoptère ».
Maxime Reynie (2e prix du jury) raconte son travail auprès des réfugiés afghans : « Je les ai rencontrés au camp de réfugiés Porte de La Chapelle. Ils ont fui leur pays face aux menaces des Talibans pesant sur leur homosexualité. A deux, ils ont traversé mers et pays pour espérer vivre, ici à Paris, une vie normale avec leurs compagnons de route. »
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Chers wipplayeurs, nous sommes fiers de vous !
Fiers et heureux, de pouvoir présenter vos talents et de mettre toute notre énergie à votre service. Bravo à tous et à très vite (n’oubliez pas de jeter un oeil à la saison 2 des concours #HumanInside – le jury s’annonce génial ❤)
