« Ces mains sont celles de Méno, 95 ans. Originaire de la région parisienne, Méno était une femme active et coquette. Elle a vécu la guerre, l’exode, un divorce… une vie ! Le moment le plus fort de sa vie ? « Quand Jean m’a pris la main, un jour dans le métro… « m’a dit Méno.
J’ai essayé de m’approcher d’une certaine sobriété cinglante. Lorsque j’ai été près de cette dame, j’ai vu la lumière qui transperçait l’obscurité de ses genoux et qui, ainsi, créait une symétrie. L’impression était renforcée par celle des jambes et des deux mains disposées de part et d’autre d’une ligne imaginaire qui partageait le tableau en deux parties égales pour n’en dévoiler que l’essentiel… cet essentiel suffisamment présent et porteur de tout le reste de la scène. »
Arlettisa, le 15/10/2016
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