« Une forte belle composition qui replace l’homme dans toute sa fragilité face au monde naturel (la mer) prêt à l’ensevelir, et à celui déshumanisé du modernisme et de la technologie, dont les énormes pieds, s’opposent à sa taille et sa forme (toute en courbes) et semblent prêts à l’écraser. Magnifique ! »
Beral, le 13/04/2017
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