Suite aux attentats de Charlie Hebdo et après le rassemblement du 11 janvier 2015, Wipplay.com et Polka Magazine se sont associés pour organiser un non-concours baptisé LA FRANCE D’APRÈS. Nombreux sont ceux à avoir partagé leurs images prises au cours de ce rassemblement historique. Les 30 photos sélectionnées étaient publiées aujourd’hui, dans le Polka #29. Face à ce recueil d’images uniques, Alain Genestar – directeur du magazine – a partagé vos photos avec le Président de la République. Au cours de l’interview, François Hollande a commenté les images, il a pu appréhender une vision de la France et de ce peuple qui s’est levé le 11 janvier. Nous sommes très sincèrement fiers de vous, chers wipplayers.
Vos photos commentées par le Président de la République
Les 30 images sélectionnées par wipplay.com et Polka sont accompagnées par les propos du président qui a commenté l’ensemble des clichés. Face aux drapeaux, aux pancartes, aux slogans rendant hommages aux victimes, le président s’est dit fier face de ce peuple qui aurait pu se perdre dans la rancune, la revanche ou le ressentiment. Le président de la France a souligné l’extraordinaire élan du 11 janvier : « La France est le pays de la liberté. C’est pourquoi le monde a été si solidaire de nous. (…) Quant aux français, ils ont redécouvert que la liberté était un combat, qu’il convenait de se lever pour elle, de marcher pour elle, de défiler pour elle ».
« Comme pour se réunir dans une communauté de destins »
Le non-concours baptisé LA FRANCE D’APRÈS était une tribune visant à recueillir vos témoignages et vos hommages suite à ce rassemblement historique. Au-delà de l’événement, ces images ont permis à chacun de partager sa vision de la France après les attentats. Communion, force, partage… Ces photos illustrent à leur manière un pays qui a choisi de se lever. Comme le souligne François Hollande, les images montrent que « le peuple s’est soulevé pour livrer aux yeux du monde un combat pacifique pour la liberté. Les français ont cherché à être ensemble. Partout. Comme pour se retrouver après un chagrin. Comme pour se réunir dans une communauté de destins ».
☞ Voir aussi l’article : LA FRANCE D’APRÈS : notre 1er « non-concours »